Voyage en Atlantide en hypnose ésotérique

voyage en atlantide en hypnose ésotérique

Comme je vous l’avais expliqué dans mes précédents articles, j’ai appris l’hypnose ésotérique ,il y a un an, et depuis je m’entraine toutes les semaines comme opérateur , ou comme télépathe.

L’an dernier, mon opérateur Stéfano, m’avait envoyée explorer l’atlantide, la grande pyramide et le sphinx.

Ca été le premier voyage en atlantide en hypnose ésotérique !

En état modifié de conscience, j’avais découvert des choses interressantes, notamment que la grande pyramide avait été construite aux temps des atlantes et qu’elle comportait des mémoires de cette époque sous forme de cristaux.

J’avais aussi vu des corps en stase sous le sphinx

Mes premières investigations

les atlantes
les pyramides
le sphynx

Ce sont mes premières investigations, alors ma vision n’était pas encore très claire 🙂

Puis pour vérifier et avoir des précisions, je me suis intéressée à la littérature sur ces sujets et le plus connu est bien sur Edgar Cayce, et il m’apparait de plus en plus que l’on est en train de revivre un peu la même chose qu’aux temps de l’atlantide, c’est pourquoi ce sujet me parait important.

Extrait d’un livre sur Edgar Cayce

Voici un extrait du livre  » Edgar Cayce: La grande pyramide de l’atlantide » de Dorothée de Bizemont et William FIX :

« Expliquer la Grande Pyramide ne peut se faire qu’en changeant notre vision de l’Histoire. Comme nous l’avons dit, on enseigne aujourd’hui partout qu’on « n’arrête pas le progrès », qui nous a fait évoluer depuis « l’hominien-au-front-bas » jusqu’au glorieux citoyen du XXe siècle, si fier de sa révolution industrielle…
Et pourtant, nombre d’intellectuels, qui se seraient bien contentés de présenter les résultats immédiats de leurs recherches, ont buté sur le schéma classique au moment où ils s’y attendaient le moins. William Thompson, par exemple, auteur de At the edge of History, pense qu’un mythe n’est pas une étape du développement de l’Homme primitif. Il lui semble, dit-il, que la plupart des « primitifs » que l’on a étudiés ne sont pas « au commencement » de quelque chose, plutôt à la fin d’autre chose… Dans un autre livre, Hamlet’s Mill, les professeurs von Dechend et de Santillana remarquent que la littérature des peuples, même les plus archaïques, parle de traditions qui étaient déjà pour eux des mythes anciens! Ils démontrent que la plupart des mythes sont en fait des « archives » transmettant une information sur des événements astronomiques censés s’être produits dans la nuit des temps :

« Ces gens qui sont nos prédécesseurs, au lieu d’étaler leurs fantasmes avec une liberté naïve, se conduisent plutôt comme des commentateurs embarrassés : ils essaient toujours de faire l’exégèse d’une tradition qu’ils comprennent à peine.»

Plus nous étudions les origines de l’humanité, plus il semble qu’en réalité, il s’est passé le contraire de ce que nous avions cru jusque là!

Ils ont bien établi maintenant que l’Homme, sous une forme ou une autre est présent sur la planète depuis plusieurs million d’années.

L’homme de Cro-Magnon qui était grand, droit sur ses jambes, avec une capacité crânienne très supérieure à celle de l’Homme moderne, est là pour témoigner qu’il y a eu des hommes supérieurement intelligents depuis déjà des dizaines de millions d’années.

James Norman, dans son livre, Ancestral Voices parle des os gravés qui donnent les phases de la Lune, et autres variables. Et ces os, au carbone 14, datent d’il y a 135.000 ans! Ce qui apporte de l’eau au moulin de ceux qui pensent que les alphabets dérivent du zodiaque et des phases de la Lune. Ces symboles auraient d’abord fonctionné comme des nombres avant de fonctionner comme des lettres : l’écriture serait-elle fille des mathématiques? Mais cette évolution a pu se faire sur des milliers d’années.
Dans notre perspective historique, il faut se rappeler avec un peu de modestie que notre propre culture a mis un peu moins de 500 ans à passer de Christophe Colomb à l’exploration de la Lune. Alors, plutôt que de considérer ces 100.000 ans de l’« Homo Sapiens » comme une ère de barbarie, il serait plus réaliste de penser que ce laps de temps a vu naître et mourir de très brillantes civilisations.
Les vieilles légendes arabes qui considéraient la Grande Pyramide comme le « conservatoire » des connaissances d’un âge d’or disparu donnent finalement la seule explication sensée. Ces légendes, rappelons-le, insistaient sur le fait que ces connaissances devaient être mises à l’abri, car viendrait un jour un grand désastre ; et qu’après elles devraient pouvoir servir aux survivants — aux hommes qui viendraient dans le cycle suivant.

Ce point de vue implique que les constructeurs de Chéops furent au moins aussi intelligents que nous-mêmes. Un simple fait : à quoi sert de bricoler six millions de tonnes de pierres et de les réduire à huit hectares et demi agencés au millimètre près, pour en faire une tombe, un temple, un observatoire astronomique, une pompe à eau, une Bible de pierre, etc., si ça ne doit pas durer? Mais si le monument est conçu pour passer victorieusement l’épreuve du temps, pour survivre à 12.500 ans de séismes, d’intempéries et de vandalisme, alors oui, c’était une bonne raison de se donner tout ce mal.
Si l’Histoire n’est qu’un renouvellement perpétuel, pourquoi refuser aux pharaons et aux prêtres de l’Égypte prédynastique (et 30.000 avant notre ère)qu’en réalité il s’est passé le contraire de ce que nous avions cru jusque-là! D’abord, les mythes anciens, les légendes ne sont pas de l’invention pure et simple : ils sont ce qui reste d’une histoire des cycles de l’humanité. Et notre histoire, telle que nous avons cru qu’elle était, n’est finalement, comme dit Voltaire, qu’un mensonge sur lequel tout le monde est d’accord. Ce que nous avons refusé de recevoir, ce sont les enseignements du vieux prêtre de Sais.
Ceux qui acceptent telle quelle la théorie du progrès linéaire en Histoire devraient pouvoir espérer avoir les faits dans leur camp.
Or il ne s’agit pas d’un conflit entre ceux à qui les faits donnent raison, et les autres; la question est l’interprétation opposée de ces mêmes faits! L’Atlantide, c’est peut-être un délire pour l’enseignement classique. Mais si l’Histoire n’est pas telle qu’on nous l’a enseignée, un progrès continu, alors, c’est leur vision du monde à eux qui devient un délire! Et vraiment, à la lumière des découvertes sur la Grande Pyramide, les bases mêmes de l’Histoire officielle ont commencé à vaciller.
Et c’est eux-mêmes — les partisans de l’enseignement officiel, qu’ils soient égyptologues, archéologues, anthropologues, historiens, c’est eux-mêmes qui ont scié la branche sur laquelle ils sont assis…


On a des inscriptions et des pictogrammes qui ont été datés d’il y a 15 ou 30.000 ans256. Dans son livre Ancestral Voices, James Norman parle des os gravés qui donnent les phases de la Lune, et autres variables. Et ces os, au carbone 14, datent d’il y a 135.000 ans! Ce qui apporte de l’eau au moulin de ceux qui pen-sent que les alphabets dérivent du zodiaque et des phases de la Lune. Ces symboles auraient d’abord fonctionné comme des nombres avant de fonctionner comme des lettres : l’écriture serait-elle fille des mathématiques? Mais cette évolution a pu se faire sur des milliers d’années.
Dans notre perspective historique, il faut se rappeler avec un peu de modestie que notre propre culture a mis un peu moins de 500 ans à passer de Christophe Colomb à l’exploration de la Lune. Alors, plutôt que de considérer ces 100.000 ans de l’« Homo Sapiens » comme une ère de barbarie, il serait plus réaliste de penser que ce laps de temps a vu naître et mourir de très brillantes civilisations.
Les vieilles légendes arabes qui considéraient la Grande Pyramide comme le « conservatoire » des connaissances d’un âge d’or disparu donnent finalement la seule explication sensée. Ces légendes, rappelons-le, insistaient sur le fait que ces connaissan-ces devaient être mises à l’abri, car viendrait un jour un grand désastre ; et qu’après elles devraient pouvoir servir aux survivants — aux hommes qui viendraient dans le cycle suivant.

Ce point de vue implique que les constructeurs de Chéops furent au moins aussi intelligents que nous-mêmes. Un simple fait : à quoi sert de bricoler six millions de tonnes de pierres et de les réduire à huit hectares et demi agencés au millimètre près, pour en faire une tombe, un temple, un observatoire astronomique, une pompe à eau, une Bible de pierre, etc., si ça ne doit pas durer? Mais si le monument est conçu pour passer victorieusement l’épreuve du temps, pour survivre à 12.500 ans de séismes, d’intempéries et de vandalisme, alors oui, c’était une bonne raison de se donner tout ce mal.
Si l’Histoire n’est qu’un renouvellement perpétuel, pourquoi refuser aux pharaons et aux prêtres de l’Égypte prédynastique (et aux Atlantes) des connaissances avancées dans le rayon prophétique? Pourquoi n’auraient-ils pas été capables de prévoir la disparition de l’Atlantide et de sa culture? Et prévoir le déclin général, tant politique que culturel, qui s’ensuivrait?
Pourquoi refuser absolument l’idée qu’il y ait eu des hommes capables de prévoir une longue décadence à venir — sur le plan intellectuel et scientifique — et le danger d’oubli, de perte des connaissances de l’âge précédent? S’il a existé des chefs éclairés, ils ont pu vouloir sauvegarder ces connaissances pour un temps meilleur.

Car ce qu’ils ont construit là, ces six millions de tonnes de cailloux, c’est quelque chose d’indestructible, dont la simple permanence à travers les siècles témoigne de leur haut niveau technologique. Tout dans Chéops, sa localisation, ses mesures, sa structure, ses proportions, a l’allure d’un témoignage de pierre qui nous interpelle sur la continuité des connaissances humaines.
Tout ceci pourrait bien être la seule raison intelligente à la construction de cette taupinière géante. Mais, tout de même, cela pose une autre question. Pourquoi aurait-on pris la peine de travailler avec une telle incroyable perfection, sur cette « borne géographique », au centre de la masse des terres émergées? Pour des inconnus qui viendraient 12.000 ans plus tard? On imagine mal la motivation qui a pu pousser les constructeurs de Chéops, même les plus altruistes, à accumuler 6 millions de tonnes de pierres s’ils n’y avaient pas eu eux-mêmes un intérêt immédiat.
Peut-être l’avaient-ils? C’est la question que nous allons voir.
Pour cela, il faut nous pencher sur les cosmologies de l’Antiquité. Or l’ingrédient essentiel de celles-ci, qu’on le veuille ou non, est la croyance en la réincarnation. Croyance générale chez les Anciens, et encore aujourd’hui dans bien des pays, elle suppose la croyance dans l’éternité de l’âme et de l’esprit individuels.

Dans cette perspective, les âmes humaines reviennent sur la Terre sur des millénaires, et peuvent y retrouver leurs œuvres passées, avec leurs conséquences. Les Anciens croyaient donc que reviendrait un temps avec des problèmes semblables à ceux qui avaient existé en Atlantide… Ils croyaient que ceux qui s’y étaient incarnés déjà reviendraient « en masse » affronter les mêmes défis.
Évidemment ce point de vue change tout. La réincarnation massive des Atlantes à notre époque expliquerait donc le retour de la technologie moderne — en particulier un peu avant la Seconde Guerre mondiale, au commencement de ce siècle. En termes traditionnels, comme l’exprimaient les Anciens, l’explosion scientifique actuelle de ce siècle serait due à ce phénomène de réincarnation massive des énergies atlantes, des milliers d’années plus tard.
La réincarnation est une théorie rationnelle, qui permet de coordonner logiquement le passé, le présent, le futur, dans un éternel présent. Serions-nous donc les mêmes Atlantes ou les Égyptiens prédynastiques qui construisirent la Grande Pyramide? Les mêmes qui avaient déjà vécu en Atlantide?

Aurions-nous construit la Pyramide pour nous-mêmes, pour nous aider à ne pas oublier notre héritage, 12.000 ans plus tard?…
Car l’intérêt croissant porté à l’Égypte et à l’Atlantide n’est pas un délire temporaire. Pour des millions de lecteurs, cela sonne comme quelque chose de vaguement familier. Mais quelle est l’origine de la science et de la technologie de pointe? Et d’où vien-nent ces délires graphiques dont on nous inonde, ces histoires de batailles de monstres, de géants et de dinosaures, qui remplissent les livres de science-fiction et les BD? Est-ce que ce sont des images surgies de l’inconscient collectif? Ou plus exactement une « mémoire collective » de l’humanité sur la Terre?


Tout ceci n’est pas nouveau, et cette notion de « mémoire collective » a toujours intrigué les grands philosophes classiques.
Il y a vingt-quatre siècles, Platon écrivait (faisant parler Socrate) que toute connaissance n’est que mémoire. L’éducation n’est là que pour nous rafraîchir la mémoire sur des choses que nous avons vécues et expérimentées dans d’autres états. Platon, la Bible, les lectures d’Edgar Cayce sont d’accord là-dessus, et s’expriment par le proverbe : « il n’y a rien de nouveau sous le soleil ». Si c’est vrai, cela expliquerait l’engouement actuel du public pour tout ce qui est occultisme et parapsychologie — mais aussi science-fiction, technologies futuristes, violences exotiques, séries noires, civilisations perdues et autres mystères — tout cela ne serait que des souvenirs inconscients de ce qui a existé dans d’autres temps. Si l’Histoire n’est qu’un perpétuel recommencement, le passé devient le miroir de notre avenir.
Le cycle actuel se terminera aussi sûrement que ceux qui l’ont précédé; et il est étonnant de voir que des millions de gens le sentent. On attend un grand changement comme si la Terre allait vers un événement étonnant au fur et à mesure que l’on s’approche de l’an 2000. Cette attente s’exprime partout à l’heure actuelle, depuis les prévisions économiques jusqu’à la littérature et la musique populaire. Il y en a qui prévoient des tremblements de terre géants, d’autres l’invasion des extraterrestres, d’autres encore le retour du Messie. Les prophéties traditionnelles, même anciennes, sont unanimes à affirmer que nous allons vers un tournant259. On croule sous la littérature apocalyptique d’inspiration chrétienne, dont le thème favori est que « nous sommes dans les derniers jours », comme le dit la Bible : nous serions dans les temps précédant immédiatement le retour du Christ…
On en donne comme signes la résurrection d’Israël, la renaissance de l’Empire romain sous la forme de la Communauté européenne, la crise économique mondiale, l’aggravation de la tension militaire au Proche-Orient, etc., qu’on pense être des signes avant-coureurs de l’Armageddon.
Il court aussi un peu partout des prophéties tirées de la Bible sur les « tremblements de terre en divers endroits », « le Soleil qui doit s’obscurcir, la Lune qui doit perdre sa lumière, et les étoiles qui doivent tomber du ciel ». Ces images pourraient en fait suggérer le basculement des pôles et la « chute » des étoiles comme une description visuelle du ciel nocturne lors d’un pareil cataclysme. Le folklore des Lapons, c’est tout de même étrange, décrit la fin d’un âge marquée par un déplacement de l’Étoile Polaire, à la suite de quoi « les cieux tomberont ». Chez les Indiens Skidi-Pawnee des Grandes Plaines, c’est le même refrain : l’Etoile Polaire marquant la fin d’un âge, et avant cela « la lune deviendra rouge et le soleil mourra dans les cieux».

Edgar Cayce, d’ailleurs, avait prophétisé la même chose dans la lecture 3976-15264, qui prévoit un cataclysme :
« COMME L’ONT DIT LES ANCIENS, QUAND LE SOLEIL S’OBSCURCIRA ET QUE LA TERRE SE BRISERA EN DIVERS LIEUX… »
Cayce situait autour de 1998-2000 ce fameux basculement de l’axe des Pôles, c’est-à-dire un nouveau basculement de la Terre, qui mettrait fin au cycle que nous vivons actuellement pour en avoir un nouveau. Phénomène qui changerait complètement la distribution des climats à la surface de la Terre… et bien d’autres choses encore. Cette date est proche de celle donnée par le calendrier maya, qui situait en 2011 la fin d’un âge, marquée par des tremblements de terre… « De nouveaux cieux et une nouvelle terre », comme disait le prophète Isaïe.
Edgar Cayce a fait également un certain nombre d’autres prophéties, qui commencent à être connues, sur divers bouleversements géologiques et géopolitiques affectant certains pays. On ne sait pas si ces événements doivent survenir avant ou après le basculement de l’axe des Pôles — probablement à la faveur de celui- ci. S’ils surviennent, ce qui n’est d’ailleurs pas sûr du tout! La difficulté est d’interpréter à quel niveau jouent ces événements. Est-ce possible qu’ils passent inaperçus, comme l’émergence de Poséïda, dont nous avons parlé plus haut? Mais on ne doit pas non plus rejeter à priori la possibilité que toutes ces prédictions ne se réalisent ; et si c’est le cas, elles seraient des signes accompagnant un changement d’ère?

Le scénario des événements donné par Cayce commence trois mois au moins avant l’éruption du Vésuve, ou de la Montagne Pelée267, par de très grands séismes en Californie du Sud; les zones de Sait Lake City et du Nevada Sud seraient également touchées. Dans l’une des lectures, cela va même jusqu’à la « disparition » de Los Angeles et San Francisco — bien qu’aucune date ne soit vraiment précisée. La ville de New York serait détruite par un séisme — ou une guerre —, les trois États de Caroline du Nord, du Sud, et de Géorgie s’enfonceraient en partie sous l’eau — et le Japon également. Par contre, d’autres terres émergeraient au large de la côte Est des États-Unis, dans la mer Caraïbe ; quant à l’Europe du Nord, il s’agit de la configuration de ses côtes, dont les contours doivent bientôt « changer ». Cayce dit que cela peut arriver « en un clin d’œil » — suggérant peut-être la disparition de certaines zones basses au bord de la mer.
Toutes ces prophéties avec des terres qui disparaissent et d’autres qui apparaissent font penser au mythe de l’Atlantide qui se serait enfoncée dans les flots. Or Cayce répète que c’est justement le « retour des Atlantes », avec leurs tendances extrémistes, qui créerait la possibilité de ces cataclysmes. La destruction de l’Atlantide, dit-il, avait été due surtout aux manipulations imprudentes des prodigieuses énergies de la Nature par des hommes qui les avaient mal employées.

L’histoire linéaire à laquelle on nous a habitués se veut étrangère à toute moralité; les compromissions et erreurs humaines n’y sont pas sanctionnées, puisque, par définition, on va vers un progrès continu. L’Histoire, analysée comme une répétition de cycles, par contre, coïncide avec une morale élémentaire, qui veut que les désastres qui terminent régulièrement une époque soient la conséquence des méfaits humains, de l’ignorance de l’Homme ou de sa perversité. Dans cette perspective, on n’accuse plus les « caprices » de la Nature, qui frapperait aveuglément, mais on rend à l’Homme la responsabilité des catastrophes. C’est la vision de Platon, et également de tous les folklores. Comme le dit par exemple la légende Hopi : « Au fond des mers reposent les fières cités, les patuwvotas volants, et les trésors du monde matériel corrompus par le mal, avec tous ces peuples qui ne trouvèrent pas le temps de louer le Créateur du haut de leurs collines270. » Le corollaire, c’est que, si l’Homme provoque les désastres, il peut aussi bien les empêcher. Or, actuellement, il est en train de transformer la Terre en poubelle sur une si vaste échelle que ces prophéties devraient nous inquiéter. Nous altérons l’atmosphère, polluons les eaux et le sol d’une façon terrifiante. L’écosystème de la planète est complètement perturbé par plus de 500.000 produits chocs différents, qui l’empoisonnent, ainsi que par les explosions nucléaires, l’extraction massive des hydrocarbures et combustibles fossiles. Le réveil risque d’être dur. On pourrait même penser que si les Pôles basculent, nous y serons pour quelque chose…
Ce basculement des Pôles n’est d’ailleurs pas une nouveauté. Il existe des preuves scientifiques au point que l’on pense actuellement qu’il s’est déjà produit, alors même que l’Homme était sur la Terre. Une légende des Indiens Hopi raconte que le second âge du Monde se termina lorsque la Terre « oscilla, perdit l’équilibre, se mit à tourner comme une toupie, puis roula sur elle-même deux fois. Alors les montagnes plongèrent dans les mers en faisant un grand « splash »; mers et lacs débordèrent sur les terres273 ». Après quoi commença le troisième âge… Bien sûr, il s’agit de cataclysmes terrifiants. Mais si les vieilles légendes disent vrai, cela voudrait dire que l’espèce humaine a survécu à ces grands cataclysmes. Dans cette vision des choses, l’Homme n’est donc pas condamné à disparaître; les catastrophes naturelles le purifient et le transforment.
Évidemment, tout cela fait sourire les sceptiques, qui ne verront pas le lien entre la Grande Pyramide et les prophéties apocalyptiques. Mais soyons sérieux : tout est lié. La Grande Chéops nous amène depuis les frontières de l’Histoire au futur immédiat qui est le nôtre. Et si les conclusions que l’on peut en tirer sont inquiétantes, elles ouvrent en même temps des perspectives bien plus exaltantes sur les pouvoirs de l’Homme, sur son origine, sur sa destinée. Il y a beaucoup plus d’espoir qu’on ne nous l’a dit…
On nous avait enseigné que l’Homme descendait du singe.
Mais ce n’est pas ce que disent les anciennes traditions. Nous sommes plutôt des dieux venus des étoiles, et piégés dans la matière le temps qu’il faut pour nous purifier et nous fortifier.

L’esprit de l’Homme, son intelligence sont éternels et viennent des cieux — non pas de la Terre. Nous sommes des extraterrestres. Comme Edgar Cayce le disait, faisant écho au folklore de tous les peuples anciens : les âmes humaines seraient arrivées sur cette planète en ayant le pouvoir de se projeter dans la matière dans la forme souhaitée, se seraient laissé piéger dans la matière physique274. Mais il n’est pas impossible que certains de ces esprits-formes aient choisi de se projeter dans des singes anthropoïdes, dont ils auraient rapidement et radicalement transformé l’espèce pour arriver à l’Homme tel qu’on le connaît.
Évidemment, dans cette dernière hypothèse, il faudrait trouver le fameux « chaînon manquant » (entre le singe et l’homme). Car il y a, dans ce passage supposé de l’un à l’autre, bien des choses que l’on ne comprend pas encore : comparée à l’évolution des autres espèces, celle de l’Homme semble s’être produite avec une extrême rapidité.
« Le chaînon manquant », en anthropologie et paléontologie classiques, c’est tout simplement la nature spirituelle et éternelle de l’Homme. Pour ceux qui ont une vision cyclique de l’Histoire, il peut sembler inutile de réaffirmer que l’essence de l’Homme est spirituelle — mais cette vérité, largement passée sous silence dans les universités, a le mérite de dédramatiser les apparentes tragédies de l’Histoire.
Que gagne-t-on à étudier celle-ci? Une prise de conscience. À tous les niveaux de son être, l’Homme apprend lentement les leçons de la Terre. Si l’Histoire est constituée d’une série de cycles, ceux-ci s’emboîtent en spirale. Si l’Homme descend des étoiles, sa destinée est peut-être d’y remonter. Bien que l’étude de la Grande Pyramide semble nous démontrer que la Science n’a pas autant progressé qu’on le croit, il semble tout de même y avoir un progrès, une remontée globale vers le haut, dans l’Histoire de l’Homme.

La Grande Pyramide n’est pas seulement la bibliothèque, le musée des connaissances d’un monde disparu. Elle a aussi quelque chose à nous dire sur notre nature humaine et sur notre avenir. Elle nous apporte un message du passé qui est bouleversant. Ce message change le sens de l’Histoire et nous ouvre à nouveau les perspectives d’une philosophie ancienne qui avait éclairé l’humanité, il y a douze mille ans — et qui, aujourd’hui, nous interpelle…

Voyage en atlantique en hypnose ésotérique

Dans cette investigation, cette fois-ci, c’est moi qui fait l’opératrice et j’ai 2 télépathes: nous avons l’habitude de nous entrainer ensemble, et on a vraiment l’impression de se croiser dans plusieurs vies, notamment en atlantide 🙂

voyage en atlantide en hypnose ésotérique

En conclusion

Ces voyages en hypnose ésotérique sont vraiment des grandes aventures et je vous encourage à tenter l’expérience!

De plus, ça permet de découvrir des mémoires que l’on avait à l’intérieur de notre psyché !!

Si vous aussi, vous avez des mémoires de vies passées au temps de l’atlantide, j’ai découvert qu’on était nombreux, je vous invite à laisser un commentaire.

    https://www.nationalgeographic.fr/histoire/2020/12/latlantide-mythe-mystere-herite-de-platon