QUI SONT NOS GUIDES SPIRITUELS ?

Dans cet article, je vais vous parler de ma dernière investigation en hypnose ésotérique sur les guides spirituels.

Qui sont nos guides spirituels ?

Dans cet investigation, nous voyons qu’ils sont de plusieurs sortes , positifs ou négatifs, mais le seul guide spirituel auquel nous devrions nous référer est notre Soi supérieur, notre esprit.

Mais chez de nombreuses personnes , cette connexion ne se fait plus et souvent notre esprit essaie de nous « réveiller », d’une manière douce d’abord, puis de manière de plus en plus violente, car nous sommes à la fin des temps et il urgent d’être réveillé avant le passage vers une dimension supérieure.

Dans cette hypnose, j’ai les noms de Castaneda et de Gurdjieff qui me viennent à l’esprit, et comme je le disais, il m’ont été soufflés par mon moi supérieur car j’y ai découvert des choses intéressantes au sujet de l’esprit pour Castaneda et des influences extérieures ( que l’on nomme maintenant les agents de la matrice) pour Gurdjieff.

Présentation de Castaneda

Carlos Castaneda était un écrivain et anthropologue américain qui s’est fait connaître pour ses livres sur les enseignements du chamanisme et de la spiritualité dans la tradition yaqui de Mexico. Son œuvre la plus connue est sa série de livres intitulée « Les enseignements de don Juan » qui a été publiée entre 1968 et 1998.

Dans ces livres, Castaneda raconte son expérience personnelle en tant qu’étudiant de don Juan Matus, un sorcier yaqui. Il décrit ses rencontres avec don Juan et les enseignements qu’il a reçus sur la perception, la conscience, les plantes médicinales et la réalité non ordinaire.

Castaneda aborde des thèmes tels que le voyage chamanique, la manipulation de l’énergie, la quête de la connaissance de soi et l’exploration de différentes dimensions de la réalité. Il décrit également les pratiques chamaniques telles que la danse de pouvoir, les rituels de guérison et l’utilisation de plantes psychotropes pour induire des états modifiés de conscience.

Cependant, il convient de noter que l’œuvre de Castaneda a été sujette à controverse. Certains critiques ont remis en question la véracité des événements décrits dans ses livres et l’existence même de don Juan Matus. Certains anthropologues et experts en chamanisme ont également exprimé des doutes sur l’authenticité des enseignements présentés par Castaneda.

Quoi qu’il en soit, l’œuvre de Carlos Castaneda a suscité un grand intérêt pour le chamanisme et a influencé de nombreux lecteurs dans leur quête spirituelle et leur exploration de la réalité. Ses livres continuent d’inspirer des discussions et des débats sur la nature de la perception, de la conscience et de la spiritualité.

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Extrait du « voyage définitif »

Dans cet extrait, le chamane met en évidence l’existence de 2 esprits qui sont pour moi l’égo et le Soi supérieur :

« Un guerrier se doit de constituer un album spécial, poursuivit-il, un album qui révèle sa personnalité et témoigne des circonstances de sa vie.
— Pourquoi le qualifiez-vous de collection, don Juan ? demandai-je d’un ton ergoteur. Ou même
d’album, d’ailleurs !
-— Parce que c’est ce qu’il est, rétorqua-t-il. Il ressemble un peu à un album de photos regroupant
les souvenirs de tous les événements mémorables de son existence.
— Ces événements mémorables se distinguent ils d’une manière particulière ?
— Ils sont reconnaissables parce qu’ils ont dans notre vie une importance et une signification exceptionnelles.

Ce que je te propose, c’est de constituer cet album avec les récits des divers événements qui
ont été pour toi marquants et révélateurs.
— Tous les événements que j’ai vécus ont été pour moi marquants et révélateurs, don Juan ! m’écriai-je,
regrettant immédiatement ce ton prétentieux.
— Mais non, me répondit-il en souriant, visiblement amusé par ma réaction. Tous* les épisodes de
ton existence n’ont pas joué un rôle important et significatif. Seul un petit nombre d’entre eux, j’en
suis sûr, ont changé les choses et éclairé ton chemin. Ce sont généralement des événements impersonnels,

qui ont néanmoins un caractère très personnel.
— Sans vouloir insister, don Juan, je vous assure que tout ce qui m’est arrivé mérite ces qualificatifs », dis-je en sachant pertinemment que je
mentais.
Sitôt cette phrase prononcée, je voulus lui demander de m’excuser, mais il n’y avait prêté aucune
attention, comme si je n’avais rien dit.
« Ne crois pas que cet album soit un exercice banal, une sorte de radotage sans intérêt sur les
expériences de ta vie », ajouta-t-il.
Je pris une profonde inspiration et fermai les yeux, essayant de retrouver mon calme. Une fois de
plus, j’affrontais le même dilemme insoluble : de toute évidence, je n’appréciais pas du tout les visites
que je rendais à don Juan. Je me sentais menacé en sa présence. Ses paroles me prenaient de court et
ne me laissaient pas la moindre chance de montrer ma valeur. Je détestais perdre ainsi la face chaque
fois que j’ouvrais la bouche, et j’avais horreur qu’on me prenne pour un imbécile.
Mais il existait une autre voix en moi, une voix qui venait d’une grande profondeur, plus lointaine,
presque inaudible.
Au milieu des réserves qu’émettait mon dialogue intérieur, je m’entendais dire qu’il
était désormais trop tard pour rebrousser chemin.
Il ne s’agissait pas vraiment de mes propres paroles, de mes propres pensées, mais plutôt d’une voix
inconnue me disant que je m’étais aventuré trop loin dans le monde de don Juan, et que la présence
de cet homme était devenue pour moi aussi vitale que l’air que je respirais.
« Tu peux dire ce que tu veux ! semblait me dire cette voix. Si tu n étais pas un tel monstre d’égocentrisme, tu ne serais pas si contrarié. »
« C’est la voix de ton autre esprit », me dit don Juan comme s’il l’avait entendue ou comme s’il lisait dans mes pensées.
Une intense frayeur me fit sursauter et les larmes me vinrent aux yeux. J’avouai à don Juan tout ce
qui me troublait l’esprit.
« Ce conflit que tu ressens est tout à fait normal, me répondit-il. Et je ne l’attise pas tant que ça, crois moi !

Ce n’est pas mon genre. Je pourrais te raconter quelques anecdotes te montrant comment me
traitait mon maître, le nagual Julian.
……………………………..
— Et comment avez-vous résolu ce conflit, don Juan ? lui demandai-je avec un sincère intérêt.
— Je n’ai rien résolu du tout ! Ce conflit – ou ce qui en avait l’apparence – résultait de la lutte entre
mes deux esprits. Chacun de nous, chaque être humain, a deux esprits. Celui qui nous appartient
en propre est comme une faible voix qui toujours nous donne un sentiment de clarté, d’ordre et de
sens. L’autre est une implantation étrangère, et c’est elle qui est à l’origine de ce conflit, ainsi que de
notre arrogance, de nos doutes et de notre désespoir. » —
……………………………………
— Vous voulez dire que la nature humaine est
mesquine et contradictoire ?
— Non, pas vraiment, me répondit-il. Nos mesquineries et nos contradictions sont plutôt la conséquence d’un conflit

transcendant qui affecte chacun d’entre nous, et dont seuls les sorciers sont terriblement et douloureusement conscients :

celui qui oppose nos deux esprits. »

…………………………..
L’un est notre véritable esprit, le fruit de toutes les expériences de notre vie, et il s’exprime peu car il a été vaincu et
reste dans l’ombre. L’autre, celui que nous utilisons dans toutes nos activités quotidiennes, est une implantation étrangère.
— Le problème, c’est que le concept d’un esprit qui serait une implantation étrangère paraît si farfelu à mon propre esprit qu’il

se refuse à le prendre au sérieux. » J’avais l’impression d’avoir fait une
réelle découverte.
Don Juan ne fit aucun commentaire sur ma remarque. Il continua à m’expliquer le conflit des
deux esprits comme si je n’avais strictement rien dit.
« On ne peut le résoudre sans faire appel à l’intention, dit-il. Les sorciers le font en prononçant ce
mot clairement, à voix haute. L’intention est une force qui existe dans l’univers. Lorsqu’ils l’invoquent, elle vient à eux et leur ouvre

la voie de la réalisation, ce qui leur permet de toujours accomplir ce qu’ils se proposent de faire.
— Vous voulez dire que les sorciers arrivent toujours à leurs fins, don Juan, même s’il s’agit de
visées mesquines et arbitraires ?
— Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. On peut évidemment faire appel à l’intention pour n’importe quoi, mais les sorciers ont découvert à leurs dépens quelle ne leur est accessible que pour des objectifs abstraits. « ………

Présentation de Geoges Gurdjieff

Georges Gurdjieff était un philosophe, mystique et enseignant spirituel d’origine arménienne qui a vécu au début du XXe siècle. Il a développé un système d’enseignement connu sous le nom de Quatrième Voie, qui visait à aider les individus à atteindre un état supérieur de conscience et d’éveil.

Dans la philosophie de Gurdjieff, il existe deux forces principales qui influencent la vie humaine : les influences A et B. Ces forces représentent les différentes tendances et influences qui agissent sur les individus et leur développement.

Les influences A sont considérées comme des influences externes, provenant de l’environnement et des circonstances extérieures. Elles peuvent être influencées par la culture, la société, les normes sociales et les attentes imposées par l’extérieur. Gurdjieff soutenait que de nombreuses personnes sont principalement guidées par ces influences A, ce qui les maintient dans un état de sommeil et d’automatisme.

D’autre part, les influences B sont considérées comme des influences internes, provenant de l’individu lui-même. Elles représentent la capacité de l’individu à développer une conscience plus élevée, à se libérer des schémas de pensée et de comportement conditionnés, et à réaliser son plein potentiel.

Selon Gurdjieff, la plupart des gens sont sous l’emprise des influences A, inconscients de leur propre potentiel et de leur capacité à se développer spirituellement. Son travail visait à aider les individus à se libérer de ces influences limitantes, à éveiller leur conscience et à se reconnecter à leur véritable nature.

Gurdjieff a proposé des pratiques et des exercices spécifiques pour aider les personnes à développer leur conscience, à cultiver leur présence attentive et à établir une connexion plus profonde avec leur être intérieur. Ces pratiques comprenaient des techniques de méditation, des mouvements et des danses sacrés, ainsi que des enseignements sur la psychologie et la nature humaine.

L’approche de Gurdjieff a influencé de nombreux chercheurs spirituels et a contribué au développement du mouvement de la conscience et du développement personnel. Sa vision unique des influences A et B offre une perspective intéressante sur la manière dont les forces internes et externes peuvent façonner notre expérience de vie et notre quête de croissance et de transformation.

On ne peut comprendre Gurdjieff ou Castaneda que si l’on a pris conscience qu’il y a des entités parasites qui essaient de nous influencer pour que nous restions dans la matrice.

Ma vidéo d’investigation

Voici l’investigation en hypnose sur : Qui sont les guides spirituels ?

Qui sont les guides spirituels ?

Conclusion

Nous voyons que le sujet des guides spirituels est très vaste, et ce rôle peut être tenu par beaucoup d’entités différentes, mais le plus important est de retrouver la liaison avec notre Moi supérieur qui est le véritable instigateur de notre vie.

Et vous, qu’en pensez- vous ?

n’hésitez pas à me laisser vos commentaires.

    Et si vous voulez en savoir un peu plus sur le Soi supérieur, voici la définition de Wikipédia :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Soi_(spiritualit%C3%A9)#:~:text=Le%20Soi%20avec%20un%20S,et%20ultime%20de%20l’%C3%AAtre.