La levée du Voile et La machinerie de la Matrice

La levée du voile

Dans cet article, je voudrai vous présenter 2 hypnoses que j’ai publié

1. La levée du voile

Une légende disait qu’à la naissance, les bébés naissaient avec leurs mémoires de leurs vies antérieures présentes, et puis un ange mettait le doigt sur la bouche pour leur faire oublier, d’où le creux au-dessus de la lèvre qui marque l’empreinte du doigt de l’ange.

C’est une jolie légende pour ceux qui croient aux vies antérieures, bien sûr !

1.1. Ma recherche

Quand j’avais 8, 9 ans, j’étais persuadée que ceux qui avaient vécu des vies antérieures, gardaient cela secret car il ne fallait pas que cela se divulgue; je ne sais pas où je suis allée chercher une telle idée, peut être avais-je des anciennes mémoires d’écoles de mystère !

Toujours est-il qu’au bout d’un moment, je me suis dit que j’avais surement vécu des vies antérieures et que si je ne m’en souvenais pas c’est que j’avais oublié.

J’ai toujours eu un chemin dans la spiritualité et l’ésotérisme pour essayer de comprendre des choses qui me paraissaient obscures et illogiques comme justement le fait que l’on oublie ses vies passées : d’un coté, on entend souvent dire que nous sommes sur terre pour nous améliorer et payer notre karma, mais d’un autre coté, nous n’avons aucun souvenir de ce que nous avons fait !

Et puis ce n’est pas en vivant une vie de souffrance que nous allons nous améliorer, au contraire , ça ne peut que nous rendre de plus en plus haineux.

C’est en comprenant que tout ça, c’était du bull shit

que j’ai réalisé que toute ma recherche de sens était induite par le fait que justement rien n’avait de sens.

Et j’ai enfin pu desiller les yeux lors de ma formation à l’hypnose ésotérique méthode Calogéro Grifasi.

1.2. Les différentes dimensions

Bien sur, une bonne partie me dépasse, et nous dépasse tous, car nous sommes sur terre en 3D et nous ne pouvons pas voir au-delà de ces 3 dimensions, c’est-à dire qu’une entité de 4D ou au delà ne nous est pas visible mais elle peut nous voir ( notre corps éthérique est en 4D, donc les personnes désincarnées peuvent nous voir mais nous, nous ne pouvons pas les voir), de plus , en 4D, on peut se déplacer dans l’espace et le temps, c’est pour cela qu’en état d’hypnose, notre corps éthérique qui est en 4D peut voir les entités de 4D et se déplacer dans les lignes de temps.

Donc pour en revenir au voile de l’oubli, j’ai compris que des entités mal intentionnées , se faisant appeler les seigneurs ( ou saigneurs (ce n’est pas de moi)) du Karma nous manipulaient pour nous refaire faire un tour de manège dans cette roue des réincarnations en nous faisant oublier à chaque naissance qui nos étions vraiment ce qui nous rend beaucoup plus manipulables.

C’est d’ailleurs ce qu’avait compris Bouddha

1.3. La roue des réincarnations de Bouddha

D’après Wikipédia

La roue de l’existence karmique ou bhavacakra1 appelée plus communément roue de vie (sanskrit : bhava (« existence ») + cakra (« roue »), भवचक्र ; pāli bhava-cakka, भभचक्क ; tibétain : སྲིད་པའི་འཁོར་ལོ་, Wylie : srid pa’i ‘khor loTHL : sipé khorlo) est, dans le bouddhisme, une représentation figurative du samsara2, raison pour laquelle elle est aussi appelée samsara-cakra (sanskrit) ou samsara-cakka (pāli).

La roue de la vie se présente en quatre grandes zones concentriques : une jante extérieure en douze compartiments; un cercle intérieure divisé en six (ou cinq) parties; un cercle plus petit entourant le moyeu. Le tout est tenu dans les griffes et les mâchoires du dieu de la mort Yama, et symbolise le tourbillon des existences prises dans le samsara.

D’origine indienne, la roue de la vie est fréquente dans le monde tibétain. Elle constitue un outil d’enseignement important.

1.4. Mon hypnose

2. La machinerie de la matrice

Camille Flammarion

C’est en voyant ce dessin de Camille Flammarion que d’un coup j’ai compris que la matrice était une fausse matrice et qu’il y avait une machinerie cachée ( d’ailleurs, nous avons vérifié en hypnose que Camille Flammarion était un initié et qu’il a fait ce dessin pour donner des indices).

Quelques années avant, d’ailleurs , j’avais eu un début de compréhension en voyant le film Matrix, mais pour comprendre tout cela, il faut déjà avoir franchi beaucoup de marches de compréhension et s’être extirpé de la programmation, c’est pour cela que beaucoup de personnes ne sont pas prêtes à comprendre.

Je pense que cette fausse matrice a été mise en place après la chute de l’Atlantide, je vous invite à aller voir mon article ici

2.1. Mon hypnose sur la machinerie de la matrice

3. Conclusion

La terre est en train de passer en 5D, et il faudra que les humains s’adaptent et passent aussi en 5D c’est pour cela que de plus en plus de personnes s’éveillent.

Les Stars Seed ont été envoyés en avance pour aider les autres à s’éveiller ( voir : « Les trois vagues de volontaires » de Dolorès Cannon ) et je suis persuadée qu’un d’un grand moyen d’éveils passera par l’hypnose ésotérique régressive, je le sais , car ma mission a toujours été d’ouvrir la voie.

Et vous , qu’en pensez- vous ? Merci de me faire part de vos commentaires

    QUI SONT NOS GUIDES SPIRITUELS ?

    Dans cet article, je vais vous parler de ma dernière investigation en hypnose ésotérique sur les guides spirituels.

    Qui sont nos guides spirituels ?

    Dans cet investigation, nous voyons qu’ils sont de plusieurs sortes , positifs ou négatifs, mais le seul guide spirituel auquel nous devrions nous référer est notre Soi supérieur, notre esprit.

    Mais chez de nombreuses personnes , cette connexion ne se fait plus et souvent notre esprit essaie de nous « réveiller », d’une manière douce d’abord, puis de manière de plus en plus violente, car nous sommes à la fin des temps et il urgent d’être réveillé avant le passage vers une dimension supérieure.

    Dans cette hypnose, j’ai les noms de Castaneda et de Gurdjieff qui me viennent à l’esprit, et comme je le disais, il m’ont été soufflés par mon moi supérieur car j’y ai découvert des choses intéressantes au sujet de l’esprit pour Castaneda et des influences extérieures ( que l’on nomme maintenant les agents de la matrice) pour Gurdjieff.

    Présentation de Castaneda

    Carlos Castaneda était un écrivain et anthropologue américain qui s’est fait connaître pour ses livres sur les enseignements du chamanisme et de la spiritualité dans la tradition yaqui de Mexico. Son œuvre la plus connue est sa série de livres intitulée « Les enseignements de don Juan » qui a été publiée entre 1968 et 1998.

    Dans ces livres, Castaneda raconte son expérience personnelle en tant qu’étudiant de don Juan Matus, un sorcier yaqui. Il décrit ses rencontres avec don Juan et les enseignements qu’il a reçus sur la perception, la conscience, les plantes médicinales et la réalité non ordinaire.

    Castaneda aborde des thèmes tels que le voyage chamanique, la manipulation de l’énergie, la quête de la connaissance de soi et l’exploration de différentes dimensions de la réalité. Il décrit également les pratiques chamaniques telles que la danse de pouvoir, les rituels de guérison et l’utilisation de plantes psychotropes pour induire des états modifiés de conscience.

    Cependant, il convient de noter que l’œuvre de Castaneda a été sujette à controverse. Certains critiques ont remis en question la véracité des événements décrits dans ses livres et l’existence même de don Juan Matus. Certains anthropologues et experts en chamanisme ont également exprimé des doutes sur l’authenticité des enseignements présentés par Castaneda.

    Quoi qu’il en soit, l’œuvre de Carlos Castaneda a suscité un grand intérêt pour le chamanisme et a influencé de nombreux lecteurs dans leur quête spirituelle et leur exploration de la réalité. Ses livres continuent d’inspirer des discussions et des débats sur la nature de la perception, de la conscience et de la spiritualité.

    User

    Extrait du « voyage définitif »

    Dans cet extrait, le chamane met en évidence l’existence de 2 esprits qui sont pour moi l’égo et le Soi supérieur :

    « Un guerrier se doit de constituer un album spécial, poursuivit-il, un album qui révèle sa personnalité et témoigne des circonstances de sa vie.
    — Pourquoi le qualifiez-vous de collection, don Juan ? demandai-je d’un ton ergoteur. Ou même
    d’album, d’ailleurs !
    -— Parce que c’est ce qu’il est, rétorqua-t-il. Il ressemble un peu à un album de photos regroupant
    les souvenirs de tous les événements mémorables de son existence.
    — Ces événements mémorables se distinguent ils d’une manière particulière ?
    — Ils sont reconnaissables parce qu’ils ont dans notre vie une importance et une signification exceptionnelles.

    Ce que je te propose, c’est de constituer cet album avec les récits des divers événements qui
    ont été pour toi marquants et révélateurs.
    — Tous les événements que j’ai vécus ont été pour moi marquants et révélateurs, don Juan ! m’écriai-je,
    regrettant immédiatement ce ton prétentieux.
    — Mais non, me répondit-il en souriant, visiblement amusé par ma réaction. Tous* les épisodes de
    ton existence n’ont pas joué un rôle important et significatif. Seul un petit nombre d’entre eux, j’en
    suis sûr, ont changé les choses et éclairé ton chemin. Ce sont généralement des événements impersonnels,

    qui ont néanmoins un caractère très personnel.
    — Sans vouloir insister, don Juan, je vous assure que tout ce qui m’est arrivé mérite ces qualificatifs », dis-je en sachant pertinemment que je
    mentais.
    Sitôt cette phrase prononcée, je voulus lui demander de m’excuser, mais il n’y avait prêté aucune
    attention, comme si je n’avais rien dit.
    « Ne crois pas que cet album soit un exercice banal, une sorte de radotage sans intérêt sur les
    expériences de ta vie », ajouta-t-il.
    Je pris une profonde inspiration et fermai les yeux, essayant de retrouver mon calme. Une fois de
    plus, j’affrontais le même dilemme insoluble : de toute évidence, je n’appréciais pas du tout les visites
    que je rendais à don Juan. Je me sentais menacé en sa présence. Ses paroles me prenaient de court et
    ne me laissaient pas la moindre chance de montrer ma valeur. Je détestais perdre ainsi la face chaque
    fois que j’ouvrais la bouche, et j’avais horreur qu’on me prenne pour un imbécile.
    Mais il existait une autre voix en moi, une voix qui venait d’une grande profondeur, plus lointaine,
    presque inaudible.
    Au milieu des réserves qu’émettait mon dialogue intérieur, je m’entendais dire qu’il
    était désormais trop tard pour rebrousser chemin.
    Il ne s’agissait pas vraiment de mes propres paroles, de mes propres pensées, mais plutôt d’une voix
    inconnue me disant que je m’étais aventuré trop loin dans le monde de don Juan, et que la présence
    de cet homme était devenue pour moi aussi vitale que l’air que je respirais.
    « Tu peux dire ce que tu veux ! semblait me dire cette voix. Si tu n étais pas un tel monstre d’égocentrisme, tu ne serais pas si contrarié. »
    « C’est la voix de ton autre esprit », me dit don Juan comme s’il l’avait entendue ou comme s’il lisait dans mes pensées.
    Une intense frayeur me fit sursauter et les larmes me vinrent aux yeux. J’avouai à don Juan tout ce
    qui me troublait l’esprit.
    « Ce conflit que tu ressens est tout à fait normal, me répondit-il. Et je ne l’attise pas tant que ça, crois moi !

    Ce n’est pas mon genre. Je pourrais te raconter quelques anecdotes te montrant comment me
    traitait mon maître, le nagual Julian.
    ……………………………..
    — Et comment avez-vous résolu ce conflit, don Juan ? lui demandai-je avec un sincère intérêt.
    — Je n’ai rien résolu du tout ! Ce conflit – ou ce qui en avait l’apparence – résultait de la lutte entre
    mes deux esprits. Chacun de nous, chaque être humain, a deux esprits. Celui qui nous appartient
    en propre est comme une faible voix qui toujours nous donne un sentiment de clarté, d’ordre et de
    sens. L’autre est une implantation étrangère, et c’est elle qui est à l’origine de ce conflit, ainsi que de
    notre arrogance, de nos doutes et de notre désespoir. » —
    ……………………………………
    — Vous voulez dire que la nature humaine est
    mesquine et contradictoire ?
    — Non, pas vraiment, me répondit-il. Nos mesquineries et nos contradictions sont plutôt la conséquence d’un conflit

    transcendant qui affecte chacun d’entre nous, et dont seuls les sorciers sont terriblement et douloureusement conscients :

    celui qui oppose nos deux esprits. »

    …………………………..
    L’un est notre véritable esprit, le fruit de toutes les expériences de notre vie, et il s’exprime peu car il a été vaincu et
    reste dans l’ombre. L’autre, celui que nous utilisons dans toutes nos activités quotidiennes, est une implantation étrangère.
    — Le problème, c’est que le concept d’un esprit qui serait une implantation étrangère paraît si farfelu à mon propre esprit qu’il

    se refuse à le prendre au sérieux. » J’avais l’impression d’avoir fait une
    réelle découverte.
    Don Juan ne fit aucun commentaire sur ma remarque. Il continua à m’expliquer le conflit des
    deux esprits comme si je n’avais strictement rien dit.
    « On ne peut le résoudre sans faire appel à l’intention, dit-il. Les sorciers le font en prononçant ce
    mot clairement, à voix haute. L’intention est une force qui existe dans l’univers. Lorsqu’ils l’invoquent, elle vient à eux et leur ouvre

    la voie de la réalisation, ce qui leur permet de toujours accomplir ce qu’ils se proposent de faire.
    — Vous voulez dire que les sorciers arrivent toujours à leurs fins, don Juan, même s’il s’agit de
    visées mesquines et arbitraires ?
    — Non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. On peut évidemment faire appel à l’intention pour n’importe quoi, mais les sorciers ont découvert à leurs dépens quelle ne leur est accessible que pour des objectifs abstraits. « ………

    Présentation de Geoges Gurdjieff

    Georges Gurdjieff était un philosophe, mystique et enseignant spirituel d’origine arménienne qui a vécu au début du XXe siècle. Il a développé un système d’enseignement connu sous le nom de Quatrième Voie, qui visait à aider les individus à atteindre un état supérieur de conscience et d’éveil.

    Dans la philosophie de Gurdjieff, il existe deux forces principales qui influencent la vie humaine : les influences A et B. Ces forces représentent les différentes tendances et influences qui agissent sur les individus et leur développement.

    Les influences A sont considérées comme des influences externes, provenant de l’environnement et des circonstances extérieures. Elles peuvent être influencées par la culture, la société, les normes sociales et les attentes imposées par l’extérieur. Gurdjieff soutenait que de nombreuses personnes sont principalement guidées par ces influences A, ce qui les maintient dans un état de sommeil et d’automatisme.

    D’autre part, les influences B sont considérées comme des influences internes, provenant de l’individu lui-même. Elles représentent la capacité de l’individu à développer une conscience plus élevée, à se libérer des schémas de pensée et de comportement conditionnés, et à réaliser son plein potentiel.

    Selon Gurdjieff, la plupart des gens sont sous l’emprise des influences A, inconscients de leur propre potentiel et de leur capacité à se développer spirituellement. Son travail visait à aider les individus à se libérer de ces influences limitantes, à éveiller leur conscience et à se reconnecter à leur véritable nature.

    Gurdjieff a proposé des pratiques et des exercices spécifiques pour aider les personnes à développer leur conscience, à cultiver leur présence attentive et à établir une connexion plus profonde avec leur être intérieur. Ces pratiques comprenaient des techniques de méditation, des mouvements et des danses sacrés, ainsi que des enseignements sur la psychologie et la nature humaine.

    L’approche de Gurdjieff a influencé de nombreux chercheurs spirituels et a contribué au développement du mouvement de la conscience et du développement personnel. Sa vision unique des influences A et B offre une perspective intéressante sur la manière dont les forces internes et externes peuvent façonner notre expérience de vie et notre quête de croissance et de transformation.

    On ne peut comprendre Gurdjieff ou Castaneda que si l’on a pris conscience qu’il y a des entités parasites qui essaient de nous influencer pour que nous restions dans la matrice.

    Ma vidéo d’investigation

    Voici l’investigation en hypnose sur : Qui sont les guides spirituels ?

    Qui sont les guides spirituels ?

    Conclusion

    Nous voyons que le sujet des guides spirituels est très vaste, et ce rôle peut être tenu par beaucoup d’entités différentes, mais le plus important est de retrouver la liaison avec notre Moi supérieur qui est le véritable instigateur de notre vie.

    Et vous, qu’en pensez- vous ?

    n’hésitez pas à me laisser vos commentaires.

      Et si vous voulez en savoir un peu plus sur le Soi supérieur, voici la définition de Wikipédia :

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Soi_(spiritualit%C3%A9)#:~:text=Le%20Soi%20avec%20un%20S,et%20ultime%20de%20l’%C3%AAtre.

      CONVERSATIONS EN HYPNOSE ESOTERIQUE REGRESSIVE AVEC JULES VERNE

      Bonjour à tous!

      Dans cet article, je vais vous partager les conversations que j’ai eu en hypnose ésotérique régressive avec Jules Verne grâce à mes 2télépathes: Stéfano et Jean-Pierre.

      La question que l’on peut se poser c’est comment m’est venue cette idée d’essayer d’avoir des conversations en hypnose avec Jules verne ?

      Et bien, un matin, alors que j’étais en autohypnose, il m’est apparu le livre de Jules Verne: « Voyage au centre de la terre », et je me suis demandé d’où lui était venu l’idéé de ce roman, si c’était juste son imagination où si il avait reçu une initiation, ca

      lors de précédentes hypnose, j’avais vu qu’aprés le raz de marée de l’atlantide, une partie de la population s’était réfugiée dans des grottes, à l’intérieur de la terre, et de savoir des atlante s’était transmis oralement à certains initiés via des écoles de mystère.

      « Voyage au centre de la terre « de Jules VERNE

      Je vais vous partager un extrait du début du livre, on peut remarquer la grande érudition de J Verne car l’ouvrage dont il parle existe réellement :

      https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1549145

      C’est en effet la découverte d’un parchemin écrit en caractères runiques, dans le livre de Snorre Turleson qui constitue le départ de l’aventure.

      « …Mais, en entrant dans le cabinet, je ne songeais guère à ces merveilles. Mon oncle seul occupait ma pensée. Il était enfoui dans son large fauteuil garni de velours d’Utrecht, et tenait entre les mains un livre qu’il considérait avec la plus profonde admiration.
      « Quel livre ! quel livre ! » s’écriait-il.
      Cette exclamation me rappela que le professeur Lidenbrock était aussi bibliomane à ses moments perdus ; mais un bouquin n’avait de prix à ses yeux qu’à la condition d’être introuvable, ou tout au moins illisible.
      « Eh bien ! me dit-il, tu ne vois donc pas ? Mais c’est un trésor inestimable que j’ai rencontré ce matin en furetant dans la boutique du juif Hevelius.
      – Magnifique ! » répondis-je avec un enthousiasme de commande.
      En effet, à quoi bon ce fracas pour un vieil in-quarto dont le dos et les plats semblaient faits d’un veau grossier, un bouquin jaunâtre auquel pendait un signet décoloré ?
      Cependant les interjections admiratives du professeur ne discontinuaient pas.
      « Vois, disait-il, en se faisant à lui-même demandes et réponses ; est-ce assez beau ? Oui, c’est admirable ! Et quelle reliure ! Ce livre s’ouvre-t-il facilement ? Oui, car il reste ouvert à n’importe quelle page ! Mais se ferme-t-il bien ? Oui, car la couverture et les feuilles forment un tout bien uni……….

      « Et quel est donc le titre de ce merveilleux volume ?

      cet ouvrage, répondit mon oncle, c’estl’Heinmskringla de Snorre Turleson le fameux auteur islandais du XII ° siècle ! C’est la chronique des princes norvégiensqiu régnèrent en Islande ! « ……

      Ceci est l’ouvrage original en langue islandaise, ce magnifique idiome,riche et simple à la fois, qui autorise les combinaisons grammaticales les

      plus variées et de nombreuses modifications de mots !
      – Comme l’allemand, insinuai-je avec assez de bonheur.
      – Oui, répondit mon oncle en haussant les épaules, sans compter que la langue islandaise admet les trois genres comme le grec et décline les noms propres comme le latin !
      – Ah ! fis-je un peu ébranlé dans mon indifférence, et les caractères de ce livre sont-ils beaux ?
      – Des caractères ! Qui te parle de caractères, malheureux Axel ! Il s’agit bien de caractères ! Ah ! tu prends cela pour un imprimé ! Mais, ignorant, c’est un manuscrit, et un manuscrit runique !…
      – Runique ?
      – Oui ! Vas-tu me demander maintenant de t’expliquer ce mot ?
      – Je m’en garderai bien », répliquai-je avec l’accent d’un homme blessé dans son amour-propre. Mais mon oncle continua de plus belle et m’instruisit, malgré moi, de choses que je ne tenais guère à savoir.
      « Les runes, reprit-il, étaient des caractères d’écriture usités autrefois en Islande, et, suivant la tradition, ils furent inventés par Odin lui-même ! Mais regarde donc, admire donc, impie, ces ty

      pes qui sont sortis de l’imagination d’un dieu ! »
      Ma foi, faute de réplique, j’allais me prosterner, genre de réponse qui doit plaire aux dieux comme aux rois, car elle a l’avantage de ne jamais les embarrasser, quand un incident vint détourner le cours de la conversation.
      Ce fut l’apparition d’un parchemin crasseux qui glissa du bouquin et tomba à terre.
      Mon oncle se précipita sur ce brimborion avec une avidité facile à comprendra. Un vieux document, enfermé depuis un temps immémorial dans un vieux livre, ne pouvait manquer d’avoir un haut prix à ses yeux.
      « Qu’est-ce que cela ? » s’écria-t-il.
      Et, en même temps, il déployait soigneusement sur sa table un morceau de parchemin long de cinq pouces, large de trois, et sur lequel s’allongeaient, en lignes transversales, des caractères de grimoire.
      En voici le fac-similé exact. Je tiens à faire connaître ces signes bizarres, car ils amenèrent le professeur Lidenbrock et son neveu à entreprendre la plus étrange expédition du dix-neuvième siècle :
      [Image d’un cryptogramme]

      Le professeur considéra pendant quelques instants cette série de caractères ; puis il dit en relevant ses lunettes :
      « C’est du runique ; ces types sont absolument identiques à ceux du manuscrit de Snorre Turleson ! Mais… qu’est-ce que cela peut signifier ? »
      Comme le runique me paraissait être une invention de savants pour mystifier le pauvre monde, je ne fus pas fâché de voir que mon oncle n’y comprenait rien. Du moins, cela me sembla ainsi au mouvement de ses doigts qui commençaient à s’agiter terriblement.
      « C’est pourtant du vieil islandais ! » murmurait-il entre ses dents.
      Et le professeur Lidenbrock devait bien s’y connaître, car il passait pour être un véritable polyglotte. Non pas qu’il parlât couramment les deux mille langues et les quatre mille idiomes employés à la surface du globe, mais enfin il en savait sa bonne part.
      Il allait donc, en présence de cette difficulté, se livrer à toute l’impétuosité de son caractère, et je prévoyais une scène violente, quand deux heures sonnèrent au petit cartel de la cheminée.

      Et se précipitant sur la feuille de papier, l’œil trouble, la voix émue, il lut le document tout entier, en remontant de la dernière lettre à la première.
      Il était conçu en ces termes :
      In Sneffels Yoculis craterem kem delibat umbra Scartaris Julii intra calendas descende, audas viator, et terrestre centrum attinges. Kod feci. Arne Saknussem.
      Ce qui, de ce mauvais latin, peut être traduit ainsi :
      Descends dans le cratère du Yocul de Sneffels que l’ombre du Scartaris vient caresser avant les calendes de Juillet, voyageur audacieux, et tu parviendras au centre de la Terre. Ce que j’ai fait. Arne Saknussemm.
      Mon oncle, à cette lecture, bondit comme s’il eût inopinément touché une bouteille de Leyde. Il était magnifique d’audace, de joie et de conviction. Il allait et venait ; il prenait sa tête à deux mains ; il déplaçait les sièges ; il empilait ses livres ; il jonglait, c’est à ne pas le

      croire, avec ses précieuses géodes ; il lançait un coup de poing par-ci, une tape par-là. Enfin ses nerfs se calmèrent et, comme un homme épuisé par une trop grande dépense de fluide, il retomba dans son fauteuil.
      « Quelle heure est-il donc ? demanda-t-il après quelques instants de silence.
      – Trois heures, répondis-je.
      – Tiens ! mon dîner a passé vite. Je meurs de faim. À table. Puis ensuite…
      – Ensuite ?
      – Tu feras ma malle.
      – Hein ! m’écriai-je.
      – Et la tienne ! » répondit l’impitoyable professeur en entrant dans la salle à manger. »

      Première conversation en hypnose ésotérique régressive avec Jules Verne

      Voilà l’enregistrement vidéo de cette conversation avec Stéphane comme télépathe

      1ère conversation en hypnose avec Jules Verne

      Deuxième conversation en hypnose ésotérique régressive avec Jules Verne

      20 000 lieux sous les mers

      Mon deuxième télépathe, Jean Pierre a voulu discuter aussi avec Jules Verne.

      Il a discuter d’autres romans, notamment  » Clovis Dardendor » qui se passe à Bugarach et  » 20 000 lieux sous les mers »:

      2éme conversation en hypnose ésotérique régressive avec Jules Verne

      Conclusion

      Je comprends que ce genre d’exercices peut en choquer plus d’un, ou se dire que je suis complètement « perchée »

      Mais ce n’est pas grave, j’assume.

      Nous sommes aux temps des grandes révélations, et on finira par admettre que l’esprit est complètement hors du corps et que la mort n’est qu’un changement d’état.

      Nos esprits sont immortels et l’hypnose est un formidable outils pour discuter avec les désincarnés.

      Et pour les plus sceptiques, je vous invite à relire ces formidables romans !

      https://www.universalis.fr/encyclopedie/voyage-au-centre-de-la-terre/1-d-un-volcan-a-l-autre/

        LA TRANSINCARNATION, LE MECANISME DE L’INCARNATION

        la trans incarnation, le mécanisme de l’incarnation

        Dans cet article, je vais aborder une notion difficile à comprendre mais pourtant très importante, les différentes incarnations.

        On peut y croire ou pas, pourtant quand on pratique l’hypnose régressive, la question ne se pose pas car c’est le principe même de cette hypnose, retourner dans les vie antérieures pour résoudre les problèmes de la vie présente.

        Quand j’ai fait cette investigation sur la transincarnation, le mécanisme de l’incarnation en hypnose régressive ésotérique, je ne connaissais pas ce terme. C’est mon opératrice en hypnose régressive qui avait lu le livre de Sylvain Didelot « Transincarnation, plusieurs vies en même temps ? »qui m’a questionnée à propos de ce mot.

        Je vais donc redonner la paternité de ce mot à Sylvain Didelot et donner sa définition :

        « La transincarnation est une action par laquelle un Esprit, une
        conscience divine s’incarne et prend forme dans plusieurs
        corps, dans plusieurs temps et dans plusieurs espaces, dans
        la même et unique expérience telle que perçue par sa
        conscience divine. »

        Je vais maintenant donner sa vision de la transincarnation ,mécanisme de l’incarnation, puis je donnerai la mienne telle que ressentie en état modifiée de conscience.

        Vision de la transincarnation par Sylvain Didelot

        Pourquoi l’incarnation

        « POURQUOI
        L’INCARNATION ?
        Dans un premier temps, sachez que nous ne pourrons jamais
        ici parler du Plan Entier de Dieu dans votre retour à la Source,
        car ce plan comprend le fait de parler de beaucoup de
        dimensions et de beaucoup d’univers dont votre conscience
        ne peut même pas frôler la substance.
        Nous allons donc nous contenter de parler de cette partie de votre
        existence infinie où vos incarnations dans cette dimension sont
        concernées.
        L’incarnation d’une conscience dans un corps est une
        expérience d’extension de l’amour infini dans un monde fini.
        Ainsi, vous êtes bien en train de faire une « expérience », vous mettez
        à l’épreuve l’amour infini que vous êtes dans un monde duel de
        troisième dimension.

        Ainsi ,nous sommes venus en incarnation pour faire l’expérience de la matière et nous améliorer avec une conscience supérieure que j’appelle Soi supérieur qui projette plusieurs « éclats » de cette conscience supérieure dans différentes incarnations, et comme le temps n’éxiste pas, les différentes vies se passent en simultanées.

        La notion intéressante que Sylvain développe, c’est que les différentes incarnations d’une même conscience supérieure sont en interaction entre elles afin d’équilibrer leurs chemins de vie.

        « Chaque existence liée à la Source de la Conscience supérieure vient
        nourrir l’autre, les frustrations de l’une deviennent les envies de l’autre,
        les ennuis de l’une deviennent des protections instinctives pour une
        autre qui apprend en même temps.
        Ainsi, la « programmation » d’une existence est un jeu très fin de
        liaisons hors du temps et de l’espace. Bien sûr, pour que ce jeu, cette
        simulation dans l’amour, soit vécu ainsi, il est nécessaire que les
        Consciences incarnées n’aient pas connaissance de ce jeu
        d’interaction dans leurs existences, et ainsi le voile de l’oubli permet-il
        à l’incarnation de vivre pleinement l’expérience en croyant ne pas
        connaître à l’avance ce qui lui arrivera. »

        C’est une notion intéressante à laquelle je n’avais pas pensé, mais c’est vrai qu’en hypnose régressive, nous faisons appel aux personnages des vies passées pour résoudre les problèmes de la vie actuelle.

        Mais d’un autre coté, j’ai toujours eu du mal à admettre qu’on devait avoir une vie misérable pour payer les erreurs d’une vie passée.

        Je vais donc donner mon interprétation de notre existence après plus de 50 années de questionnements :

        MA VISION DES TRANSINCARNATIONS,MECANISME DE L’INCARNATION

        Ma vision des transincarnations

        Je me souviens quand le film Matrix est sorti, ça m’a fait comme un électrochoc, je me suis dit qu’il y avait quelque chose à comprendre,mais c’était vraiment très confus, comme une brèche de lumière qui était entré dans mon esprit embrumé.

        Mais petit à petit, la brèche s’est agrandie est de plus en plus de lumière a pénétré.

        Je pense qu’à l’origine il y a un plan divin pour les réincarnations, mais à ce pla divin , s’est substitué un plan matriciel fait par une intelligence artificielle.

        Al’ere du Métavers, on arrive à mieux comprendre, c’est comme si nous étions dans un programme informatique, un jeu vidéo.

        Ainsi dans un jeu vidéo, nous avons plusieurs actions possibles à accomplir, et en fonction des actions accomplies le jeu se déroule.

        Dans un jeu vidéo, le joueur a son libre arbitre, mais toutes les actions qu’il accomplit ont déjà été prédéterrminées sous forme de programme informatique.

        Sauf que c’est un jeu dont nous ne comprenons pas les règles !

        J’ai l’impression que c’est la même chose dans notre vie, comme si toutes actions correspondaient à une ligne de code informatique qu’on appellerai ligne de vie.

        Mais avec la possibilité, en retournant en hypnose régressive de résoudre une problématique du passé, ce qui nous permettra de sauter sur une meilleure ligne de temps.

        LA VIDEO DE MON HYPNOSE SUR LA TRANSINCARNATION

        Voici ci- dessous l’investigation que j’ai faite en hypnose régressive, c’est ma conscience supérieure qui me parle:

        la transincarnation, le mécanisme de l’incarnation

        EN CONCLUSION

        Dans cet article, je n’ai fait que survoler un sujet des plus complexes et auquel il est très difficile d’avoir des informations, car dans l’astral il y a pléthorre d’entités qui essaient de nous embrouiller et de nous tendre des pièges.

        Mais j’espère avoir réussi à semer quelques graines qui vous donneront envie de faire des recherches.

        Ma dernière investigation :


        Nuréa tv avec Sylvain Didelot

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