Exploration des mythes de Shamballa et d’Agartha

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Exploration des mythes de Shamballa et d’Agartha

Depuis que je m’intéresse à la spiritualité, c’est-à-dire depuis mon plus jeune âge, je me suis intéressée au mythe de Shamballa que j’ai découvert dans différentes lectures ésotériques, notamment dans le livre « la vie des maitres  » de Spalding, ou « La cinquième prophétie  » de

J’ai longtemps cru que c’était la même chose et puis je me suis posé des questions en entendant une conférence de Bernard de Montréal, alors j’ai décidé d’aller faire une investigation en hypnose, mais tout d’abord, je vais donner des précisions sur ces 2 mythes.


1. Le Mythe de Shamballa

Shamballa est un mythe ancien, profondément enraciné dans les traditions ésotériques et spirituelles de diverses cultures, notamment le bouddhisme tibétain et l’hindouisme. Ce royaume mythique est souvent décrit comme un lieu de pureté, de sagesse et de paix, inaccessible au commun des mortels. Voici une exploration détaillée de ce mythe fascinant.


1.1. Origine et Signification

Le mythe de Shamballa trouve ses racines principalement dans les traditions du bouddhisme tibétain. Il est mentionné dans divers textes religieux, y compris le Kalachakra Tantra, qui est l’un des textes tantriques les plus importants du bouddhisme tibétain.

Signification de Shamballa :

  • Paix et Équilibre : Le nom « Shamballa » signifie « lieu de paix » ou « lieu de tranquillité » en sanskrit.
  • Centre Spirituel : Shamballa est souvent vue comme un centre de sagesse spirituelle et d’illumination, où les enseignements du Bouddha sont préservés et pratiqués.

1.2. Description de Shamballa

Représentation Géographique :

  • Lieu Caché : Shamballa est souvent décrite comme étant située au-delà des montagnes de l’Himalaya, cachée aux yeux du monde.
  • Paradis Terrestre : C’est un lieu de grande beauté, avec des paysages luxuriants, des rivières claires et des montagnes majestueuses.

Représentation Spirituelle :

  • Royaume Mystique : Shamballa est considérée comme un royaume mystique où réside une société avancée, à la fois spirituellement et technologiquement.
  • Gouverné par des Rois-Sages : Selon les légendes, Shamballa est gouvernée par des rois-sages, qui sont des gardiens des enseignements sacrés et de la sagesse universelle.

1.3.Symbolisme de Shamballa

Shamballa est riche en symbolisme, représentant un idéal de perfection spirituelle et un modèle de société utopique.

Symbolisme Spirituel :

  • Éveil Spirituel : Shamballa symbolise l’état d’éveil spirituel que chacun peut atteindre à travers la pratique et la dévotion.
  • Pureté et Illumination : Le royaume représente la pureté de l’âme et l’illumination que l’on peut obtenir en suivant les enseignements du Bouddha.

Symbolisme Culturel :

  • Renaissance Spirituelle : Shamballa est vue comme un espoir pour une renaissance spirituelle et un avenir harmonieux pour l’humanité.
  • Protection des Enseignements : Elle symbolise la protection et la préservation des enseignements sacrés contre les forces du mal et de l’ignorance.

1.4.Shamballa dans la Culture Populaire

Le mythe de Shamballa a transcendé les frontières culturelles et religieuses pour s’infiltrer dans la culture populaire.

Littérature et Cinéma :

  • Aventures et Quêtes : Shamballa est souvent représentée comme une destination ultime dans les récits d’aventure et de quête, symbolisant la recherche de la vérité et de la connaissance.

Spiritualité Moderne :

  • Nouvel Âge : Dans les mouvements du Nouvel Âge, Shamballa est perçue comme une source d’énergie spirituelle et de guérison, et les pratiques visant à se connecter à Shamballa sont courantes.

1.5. Conclusion

Le mythe de Shamballa est une légende riche et fascinante qui continue de captiver l’imagination des gens à travers le monde. Que ce soit comme symbole de paix, d’illumination spirituelle ou d’utopie culturelle, Shamballa représente un idéal vers lequel beaucoup aspirent. Bien qu’il soit un royaume mythique, les enseignements et les valeurs qu’il incarne sont profondément ancrés dans la quête humaine de sagesse, de compassion et de perfection spirituelle.

2. Le Mythe d’Agartha

Le mythe d’Agartha est une légende fascinante qui évoque un royaume souterrain caché, rempli de sagesse, de technologie avancée et de spiritualité. Cette légende a capté l’imagination des chercheurs de mystères et des passionnés d’ésotérisme à travers les âges. Voici une exploration détaillée de ce mythe captivant.


2.1. Origine et Signification

Le mythe d’Agartha, également appelé Agarthi, trouve ses racines dans diverses traditions ésotériques et religieuses. Bien qu’il soit surtout connu dans les cercles théosophiques et occultes occidentaux, des légendes similaires existent dans les traditions orientales.

Signification d’Agartha :

  • Royaume Caché : Agartha est souvent décrit comme un royaume souterrain, un monde intérieur caché aux yeux des habitants de la surface.
  • Centre de Sagesse : C’est un lieu de grande connaissance, de sagesse spirituelle et de technologie avancée.

2.2. Description d’Agartha

Représentation Géographique :

  • Souterrain : Agartha est supposé être situé à l’intérieur de la Terre, accessible par des entrées secrètes situées dans des régions reculées comme l’Himalaya, les pôles, ou les jungles d’Amérique du Sud.
  • Réseau de Tunnels : Il est dit que des réseaux de tunnels relient Agartha à divers endroits de la surface terrestre.

Représentation Spirituelle :

  • Royaume de Lumière : Agartha est souvent décrit comme un monde lumineux, bien différent du monde sombre et souterrain auquel on pourrait s’attendre.
  • Avancée Technologique : Les habitants d’Agartha sont supposés posséder une technologie très avancée, bien supérieure à celle de la surface terrestre.

2.3. Symbolisme d’Agartha

Agartha est riche en symbolisme et représente divers idéaux spirituels et culturels.

Symbolisme Spirituel :

  • Éveil Intérieur : Agartha symbolise la quête de l’éveil intérieur, un voyage spirituel vers la connaissance cachée au plus profond de soi.
  • Sagesse Ancestrale : Le royaume représente la sagesse ancestrale et les connaissances perdues que l’humanité cherche à retrouver.

Symbolisme Culturel :

  • Utopie Cachée : Agartha incarne l’idée d’une société utopique cachée, où règnent la paix, l’harmonie et la connaissance.
  • Refuge Spirituel : Il symbolise un refuge pour ceux qui cherchent à échapper aux corruptions et aux conflits de la surface terrestre.

2.4. Agartha dans la Culture Populaire

Le mythe d’Agartha a inspiré de nombreux récits, théories et œuvres dans la culture populaire.

Littérature et Cinéma :

  • Récits d’Aventure : Agartha apparaît dans de nombreux récits d’aventure et de science-fiction, souvent comme une destination mystérieuse pleine de secrets et de défis.
  • Films et Séries : Plusieurs films et séries ont exploré l’idée de civilisations souterraines et de mondes cachés, inspirés par le mythe d’Agartha.

Théories de la Terre Creuse :

  • Hypothèses ésotériques : Le mythe d’Agartha est souvent associé aux théories de la Terre creuse, qui postulent l’existence de vastes cavités et de mondes intérieurs sous la surface terrestre.
  • Explorations Modernes : Certains explorateurs et chercheurs contemporains ont tenté de trouver des preuves de l’existence d’Agartha, souvent avec des résultats controversés.

2.5.Conclusion

Le mythe d’Agartha est une légende riche et fascinante qui continue de captiver l’imagination des chercheurs de mystères et des passionnés de spiritualité. Agartha représente un idéal de sagesse cachée, de technologie avancée et de paix utopique. Que ce soit comme symbole d’éveil intérieur, de sagesse ancestrale ou d’une société idéale, Agartha incarne des valeurs et des aspirations profondément enracinées dans la quête humaine de connaissance et de vérité.

Bien qu’il n’existe pas de preuves concrètes de l’existence d’Agartha, le mythe continue d’inspirer et de motiver ceux qui cherchent à comprendre les mystères de notre monde et de ce qui pourrait se cacher au-delà de ce que nous connaissons.



3.Liens entre Shamballa et Agartha

Shamballa et Agartha sont deux royaumes mythiques souvent évoqués dans les traditions ésotériques et spirituelles. Bien qu’ils aient des origines et des représentations distinctes, il existe des liens conceptuels et symboliques entre ces deux légendes fascinantes. Voici une exploration de leurs connexions :


3.1. Origines et Contexte Culturel

Shamballa :

  • Origine : Principalement associé au bouddhisme tibétain, Shamballa est mentionné dans des textes comme le Kalachakra Tantra.
  • Signification : Un royaume caché de paix, de sagesse et de pureté spirituelle, situé au-delà des montagnes de l’Himalaya.

Agartha :

  • Origine : Provient de diverses traditions ésotériques occidentales et orientales, souvent lié aux théories de la Terre creuse.
  • Signification : Un royaume souterrain, supposé être un centre de connaissances avancées et de spiritualité.

3.2. Symbolisme et Signification

Sagesse et Connaissance :

  • Shamballa : Symbolise l’illumination spirituelle et la pureté. C’est un lieu où la sagesse du Bouddha est préservée et pratiquée.
  • Agartha : Représente la sagesse ancestrale et la technologie avancée. C’est un refuge de connaissances perdues et de progrès.

Lieu Caché et Inaccessible :

  • Shamballa : Caché au-delà des montagnes, accessible uniquement à ceux qui sont spirituellement éveillés.
  • Agartha : Situé sous la surface terrestre, accessible par des entrées secrètes et des tunnels cachés.

Utopie et Société Idéale :

  • Shamballa : Dépeint comme un royaume de paix, de justice et de pureté spirituelle.
  • Agartha : Décrit comme une civilisation avancée et harmonieuse, avec une technologie et une spiritualité supérieures.

3.3. Interprétations Esotériques et Modernes

Interconnexions Théosophiques :

  • Madame Blavatsky : La fondatrice de la Société Théosophique, Helena Blavatsky, a fait des liens entre Shamballa et Agartha dans ses écrits, décrivant Shamballa comme le siège du gouvernement spirituel du monde, tandis qu’Agartha est parfois vue comme une autre manifestation de ces idées.
  • Nicholas Roerich : L’explorateur et mystique russe Nicholas Roerich a également exploré ces concepts, en particulier dans le contexte de sa quête spirituelle en Asie centrale.

Concepts de la Terre Creuse :

  • Théories de la Terre Creuse : Dans certaines théories de la Terre creuse, Shamballa est parfois décrite comme une ville d’Agartha ou une partie de ce royaume souterrain plus vaste.
  • Civilisations Interconnectées : Certaines croyances ésotériques suggèrent que Shamballa et Agartha sont interconnectées par des réseaux de tunnels et des passages souterrains.

Réinterprétations Modernes :

  • Nouvel Âge : Dans les mouvements du Nouvel Âge, Shamballa et Agartha sont souvent évoquées comme des sources d’énergie spirituelle et de guérison, et comme des modèles de sociétés idéales.
  • Culture Populaire : Les récits de fiction, les films et les séries explorent souvent ces royaumes mythiques comme des lieux de mystère, d’aventure et de quête spirituelle.

3.4.Conclusion

Bien que Shamballa et Agartha aient des origines et des contextes culturels distincts, ils partagent des thèmes communs de sagesse, de spiritualité et de lieux cachés. Ils symbolisent tous deux la quête humaine de connaissance, de paix et d’illumination. Les interconnexions entre ces mythes reflètent les aspirations profondes de l’humanité à découvrir des vérités cachées et à atteindre un état de perfection spirituelle.

Que ce soit à travers les interprétations ésotériques, les théories de la Terre creuse ou les réinterprétations modernes, Shamballa et Agartha continuent de captiver et d’inspirer ceux qui cherchent à explorer les mystères de notre existence et à atteindre un état supérieur de conscience et de compréhension.

4. Mon investigation

Je vous mais ci-dessous l’investigation que j’en ai faite, il semblerait que shamballa soit du coté positif, alors qu’Agartha soit du coté occulte et négatif, mais je vous laisse voir.

Exploration des mythes de shamballa et agartha

5. Conférences de Bernard de Montréal

Voici les conférences où il a opposé Shamballa et Agartha

6. Conclusion

Bernard de Montréal parle bien d’un conflit entre Shamballa et agartha, shamballa étant dirigé par des etres de lumière et Agartha étant dirigé par le roi du monde ( et nous savons, les éveillés qui est le roi du monde ).

BdM nous donne beaucoup de clés, et j’espère à travers cet article avoir aidé à ouvrir les yeux.

Vous pourriez aussi aimer mon article : Conversation avec Jules Verne

N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires.

    CONVERSATIONS EN HYPNOSE ESOTERIQUE AVEC LOBSANG RAMPA

    Conversations avec Lobsang Rampa

    Bonjour à tous; pour continuer ma série avec les conversations en hypnose ésotérique avec d’anciens auteurs, comme je l’ai fait avec Jules Verne https://reconnexion-hypnose.com/conversations-en-hypnose-esoterique-regressive-avec-jules-verve/

    je vais vous parler dans cet article, de mes conversations avec Lobsang Rampa.

    En effet, dernièrement , je suis tombée sur un livre de Lobsang Rampa et je m’y suis replongée dedans.

    J’avais découvert Lobsang Rampa dans les années 80, du temps de ma jeunesse où je m’intéressais à l’ésotérisme.

    L’époque, il y avait très peu de livres là- dessus, contrairement à aujourd’hui, et ce qui les écrivaient étaient considérés comme perchés, menteurs ou gourous.

    Et pourtant, Rampa a été un précurseur, surtout avec son livre « Le 3ème œil » qui nous a ouvert a tout un monde que nous ne connaissions pas.

    Tous ses livres ont eu un certains succès, mais il a toujours été considéré comme un usurpateur.

    Maintenant, je me rends-compte que beaucoup de ce qu’il a écrit était vrai, d’après tout ce que je vois en hypnose ésotérique régressive; alors j’ai eu l’idée de lui rendre un hommage dans cet article.

    Et je suis allé l’interroger en hypnose ésotérique, car il faut bien comprendre que même si nous ne sommes plus de ce monde, notre esprit lui est immortel.

    Mais d’abord, je vais présenter cet auteur :

    Présentation de Lobsang Rampa

    Voici ce qu’on peut lire sur Wikipédia

    « Tuesday Lobsang Rampa, pseudonyme de Cyril Henry Hoskin (Plympton, Angleterre8 avril 1910 – Calgary25 janvier 1981) est un écrivain britannique qui prétendait être né au Tibet et être devenu le lama médecin à la lamaserie de Chakpori avant de parcourir le monde, puis d’abandonner volontairement son corps de naissance et avoir recours au procédé de transmigration4 pour continuer sa vie dans celui d’un Anglais. Il avait pris le nom de Carl Kuon Suo jusqu’en 1962. Ses ouvrages, en particulier le premier, Le Troisième Œil, ont obtenu un important succès populaire et l’auteur est généralement perçu comme l’initiateur d’une « nouvelle littérature spirituelle », sinon du New Age dans son ensemble5.

    Des enquêtes conduites en 1958 ont montré que Hoskin, fils de plombier, était un installateur d’équipements chirurgicaux (surgical fitter) au chômage et qu’il n’était jamais allé au Tibet ni ne parlait le tibétain. La compréhension sceptique de son récit est qu’il s’agit d’un canular littéraire ou d’une imposture.

    En novembre 1956, un livre intitulé The Third Eye (Le Troisième Œil) est publié au Royaume-Uni. Écrit par un certain Lobsang Rampa, ce livre est censé raconter les expériences que celui-ci a connues dans une lamaserie au Tibet où il aurait été envoyé à l’âge de sept ans. Le titre du livre fait allusion à une opération chirurgicale consistant à percer un petit orifice dans le front de Rampa pour « ouvrir » son troisième œil et lui donner, entre autres, le pouvoir de voir l’aura.

    Le manuscrit du Troisième Œil est d’abord refusé par plusieurs grands éditeurs britanniques avant d’être accepté par Secker and Warburg (en) moyennant une avance de 800 livres sterling à l’auteur. Avant la publication du livre, Fredric Warburg (en) rencontre le « docteur Carl Kuon Suo » (nom initial de l’auteur6), et est fasciné par sa personnalité. Warburg, captivé par le récit7, mais plein de doutes sur le contenu, envoie le manuscrit à un certain nombre de spécialistes, dont plusieurs mettent en doute la véracité du récit. Cela n’empêche pas le livre d’être publié en novembre 1956 et de devenir rapidement un succès de librairie dans le monde entier8. Dès les dix-huit premiers mois de sa parution, il est en tête des ventes dans douze pays, se vendant à 300 000 exemplaires et rapportant à son auteur 20 000 livres9.

    Lobsang Rampa a écrit en tout dix-neuf livres contenant un mélange de préceptes religieux ou ésotériques dont beaucoup ont été repris dans le courant New Age. Aucun n’a atteint le succès du livre Le Troisième Œil. Cependant, ses livres ont continué d’être édités et se sont vendus à quinze millions d’exemplaires dans le monde10. »

    Histoire de Lobsang Rampa

    Mon analyse

    Au vu de ce qu’en dit Wikipédia, on pense à un imposteur, mais on ne peut pas nier le succès de ses livres, ce qui correspondait à une recherche du public pour ce genre de lecture.

    On peut dire que Rampa a été un précurseur de la pensée New age, à la suite de la théosophie, de même, il a été à faire connaitre le Tibet qui était à l’époque un pays complètement fermé et totalement méconnu des occidentaux.

    Rampa, pour expliquer qui il est , nous explique qu’il a fait un transfert d’âme avec  Cyril Henry Hoskin, plombier anglais, à première vue cela parait absurde, mais j’ai beaucoup entendu parler du phénomène Wal kin, alors pourquoi pas?

    Et on pourrait se demander comment un plombier qui n’est jamais aller au Tibet aurait pu décrire tout cela, ?

    L’expérience de walk-in est un transfert d’âmes. C’est en quelque sorte une entente entre deux âmes. L’âme qui est dans le corps décide qu’elle ne veut plus continuer de vivre et au lieu de faire mourir son corps, une autre âme va continuer de vivre sa vie à sa place. Il y a une âme sortante et une âme entrante, d’où les termes anglophones « walk-in » et « walk-out ».

    Les « walk-ins » sont des âmes qui entrent dans les corps et continuent de vivre la vie de ces personnes. Elles connaissent la mémoire, la vie et l’histoire du corps, tandis que l’autre âme continue son cheminement en se réincarnant et en naissant à nouveau dans un corps différent. Les personnes qui connaissent ce corps avec cette nouvelle âme ne verront aucune différence, même si l’esprit a changé d’identité. Quand le walk-in emprunte ce nouveau véhicule, c’est à ce moment qu’il oublie sa vraie identité et il doit continuer son apprentissage afin de poursuivre sa mission. Le transfert d’un esprit à l’autre se fait habituellement lors d’un traumatisme ou d’une mort imminente. Le premier esprit s’éteint et l’autre prend la place.
    Il y a trois raisons pour lesquelles une âme décide de faire une entente de transfert avec un walk-in :
    – pour commencer une nouvelle vie
    – pour mourir
    – pour quitter leurs corps parce qu’ils ne peuvent plus y maintenir l’étincelle de vie ou parce qu’ils sont si découragés qu’ils désirent le quitter à tout prix. (…)
    d’après Hélène Levesque

    Conversations avec Lobsang Rampa

    Voici la vidéo de l’hypnose ésotérique régressive

    Un extrait d’un de ses textes

    La veuve de rampa a fait éditer un livre , récapitulatif de ses meilleurs textes: Le testament de Rampa »

    Les différentes civilisations
    Bien des gens ont l’idée erronée que ce monde n’est que depuis
    relativement peu de temps et que son histoire est complète. Or, c’est
    loin d’être exact.
    Au cours de milliers d’années, il y a eu quantité de civilisations sur
    la Terre. Cette Terre est semblable à une école où se succèdent des
    classes diverses et, comme il en est des classes, l’une peut être
    exceptionnellement bonne et l’autre exceptionnellement mauvaise.
    On peut aussi comparer la Terre à un vignoble dont les recettes
    varient. Certaines sont particulièrement appréciées, d’autres non. La
    récolte, en ce qui concerne notre globe, est composée d’êtres humains
    et elle s’étend sur des cycles bien déterminés. Par exemple, les
    Hindous pensent que chaque période de la Terre est divisée en quatre
    classes, ou stades, ou cycles, dont chacun s’étend sur 864 000 ans. Le
    premier cycle de 864 000 ans fut excellent: les hommes font de leur
    mieux, ils ont mutuellement confiance et confiance aussi en
    l’essentielle bonté du genre humain. Ils tentent de s’aider et il n’y a
    pas de guerres; pas même de menaces de guerre. Mais un bonheur
    sans mélange n’est pas une bonne chose. Il mène à la mollesse. C’est
    ce qui s’est produit dans les grandes civilisations de l’Inde, de la
    Chine et de l’Égypte. Ce furent là de grandes civilisations, mais
    l’excès de puissance, le manque d’opposition et de compétition ont
    conduit ces civilisations à la dégénérescence. Ce fut aussi le cas de la
    Rome antique. Le second cycle est celui où les hommes, ou plutôt les
    souverains de ce monde ont compris qu’il leur fallait introduire un
    serpent dans l’Eden. Il en résulte que le second cycle est le théâtre de
    certaines difficultés et de controverses, car il convient de savoir dans
    quelle mesure les gens sont capables de penser par eux-mêmes et de
    triompher de ce qui leur résiste.

    Il y a des chances pour qu’à la fin de ce second cycle les notes
    attribuées à ceux qui ont fait partie de cette classe soient très
    satisfaisantes et, par conséquent, la troisième classe, ou période de
    864 000 ans, est un peu plus sévère. II y a des guerres, et même des
    guerres de conquête, mais quoi qu’il en soit ces guerres ne sont pas
    aussi barbares, pas aussi sadiques que celles que nous connaissons.
    Les hommes n’étaient pas perfides, dans le troisième cycle. Ils se
    battaient, c’est certain, mais les guerres étaient comparables à ces
    jeux où deux petits garçons essaient la force de leurs poings et se
    donnent des coups sans intention de tuer l’adversaire rien que pour
    lui faire mal. II n’en demeure pas moins que les guerres sont
    corruptrices et l’on s’aperçut du fait que quelques coups de poignard
    dans le dos et autres traîtrises permettaient de gagner une bataille
    avant qu’elle fût vraiment commencée.
    Les choses, au cours du troisième cycle, vont de mal en pis et,
    véritablement, dégénèrent. C’est comme un incendie de forêt qu’on
    n’a pas maîtrisé à temps.
    Si un imbécile laisse tomber une cigarette allumée et provoque un
    incendie, une personne attentive peut éteindre le feu, mais si le feu
    n’a pas été détecté à temps, il devient presque impossible de le
    contrôler; alors il y a des morts et beaucoup de dégâts avant qu’on en
    vienne à bout. La vie est ainsi faite. Lorsqu’on permet au mal de se
    développer sans contrainte, il devient de plus en plus fort et. de
    même que les mauvaises herbes étouffent une belle fleur cultivée, le
    mal étouffera ce faible instinct du bien qui est originellement dans
    l’homme.
    C’est ce qui se produit à la fin du troisième cycle. On peut dire que
    les éléments perturbateurs, dans ces salles de classe qu’étaient les
    pays du monde, se dressèrent contre les maîtres, les maltraitèrent et
    désobéirent à leur autorité, (« est à ce moment que le quatrième
    cycle commença, ce quatrième cycle que les Hindous ont nommé
    l’Âge de Kali. L’Âge de Kali est celui où les gens souffrent. On peut
    se le représenter comme une ère où les hommes et les femmes

    subissent la torture par les flammes de la guerre et sont réduits en
    cendres pour être prêts à une prochaine et meilleure vie, car la vie
    continue et les êtres s’améliorent dans le cours naturel de
    l’évolution. Ils acquièrent de l’expérience et, lorsqu’ils échouent à un
    stade quelconque de leur évolution, ils retournent à ce stade comme
    l’écolier qui, n’ayant pas réussi à ses examens, est contraint de
    redoubler au lieu de passer dans la classe supérieure.

    Conclusion

    Pour ce qui de la véracité de ces textes, je pense que ce n’est pas le plus important.

    Le plus important, à mes yeux est qu’il avait un message à faire passer, et qu’il a réussi.

    Il a permis à une quantité de personnes de sortir de ses préoccupations matérielles et de s’interroger sur l’éxistence d’une réalité spirituelle, et même si le Dalai Lama le juge imposteur; il a permis au monde de connaitre le Tibet.

    Et vous qu’en pensez-vous, avez- vous lu des livres de lui?

    C’est avec plaisir que je lirai vos commentaires.

    Le testament de Rampa

    Pour en savoir plus :

    https://booknode.com/auteur/t-lobsang-rampa