Bonjour à tous; pour continuer ma série avec les conversations en hypnose ésotérique avec d’anciens auteurs, comme je l’ai fait avec Jules Verne https://reconnexion-hypnose.com/conversations-en-hypnose-esoterique-regressive-avec-jules-verve/
je vais vous parler dans cet article, de mes conversations avec Lobsang Rampa.
En effet, dernièrement , je suis tombée sur un livre de Lobsang Rampa et je m’y suis replongée dedans.
J’avais découvert Lobsang Rampa dans les années 80, du temps de ma jeunesse où je m’intéressais à l’ésotérisme.
L’époque, il y avait très peu de livres là- dessus, contrairement à aujourd’hui, et ce qui les écrivaient étaient considérés comme perchés, menteurs ou gourous.
Et pourtant, Rampa a été un précurseur, surtout avec son livre « Le 3ème œil » qui nous a ouvert a tout un monde que nous ne connaissions pas.
Tous ses livres ont eu un certains succès, mais il a toujours été considéré comme un usurpateur.
Maintenant, je me rends-compte que beaucoup de ce qu’il a écrit était vrai, d’après tout ce que je vois en hypnose ésotérique régressive; alors j’ai eu l’idée de lui rendre un hommage dans cet article.
Et je suis allé l’interroger en hypnose ésotérique, car il faut bien comprendre que même si nous ne sommes plus de ce monde, notre esprit lui est immortel.
Mais d’abord, je vais présenter cet auteur :
Présentation de Lobsang Rampa
Voici ce qu’on peut lire sur Wikipédia
« Tuesday Lobsang Rampa, pseudonyme de Cyril Henry Hoskin (Plympton, Angleterre, 8 avril 1910 – Calgary, 25 janvier 1981) est un écrivain britannique qui prétendait être né au Tibet et être devenu le lama médecin à la lamaserie de Chakpori avant de parcourir le monde, puis d’abandonner volontairement son corps de naissance et avoir recours au procédé de transmigration4 pour continuer sa vie dans celui d’un Anglais. Il avait pris le nom de Carl Kuon Suo jusqu’en 1962. Ses ouvrages, en particulier le premier, Le Troisième Œil, ont obtenu un important succès populaire et l’auteur est généralement perçu comme l’initiateur d’une « nouvelle littérature spirituelle », sinon du New Age dans son ensemble5.
Des enquêtes conduites en 1958 ont montré que Hoskin, fils de plombier, était un installateur d’équipements chirurgicaux (surgical fitter) au chômage et qu’il n’était jamais allé au Tibet ni ne parlait le tibétain. La compréhension sceptique de son récit est qu’il s’agit d’un canular littéraire ou d’une imposture.
En novembre 1956, un livre intitulé The Third Eye (Le Troisième Œil) est publié au Royaume-Uni. Écrit par un certain Lobsang Rampa, ce livre est censé raconter les expériences que celui-ci a connues dans une lamaserie au Tibet où il aurait été envoyé à l’âge de sept ans. Le titre du livre fait allusion à une opération chirurgicale consistant à percer un petit orifice dans le front de Rampa pour « ouvrir » son troisième œil et lui donner, entre autres, le pouvoir de voir l’aura.
Le manuscrit du Troisième Œil est d’abord refusé par plusieurs grands éditeurs britanniques avant d’être accepté par Secker and Warburg (en) moyennant une avance de 800 livres sterling à l’auteur. Avant la publication du livre, Fredric Warburg (en) rencontre le « docteur Carl Kuon Suo » (nom initial de l’auteur6), et est fasciné par sa personnalité. Warburg, captivé par le récit7, mais plein de doutes sur le contenu, envoie le manuscrit à un certain nombre de spécialistes, dont plusieurs mettent en doute la véracité du récit. Cela n’empêche pas le livre d’être publié en novembre 1956 et de devenir rapidement un succès de librairie dans le monde entier8. Dès les dix-huit premiers mois de sa parution, il est en tête des ventes dans douze pays, se vendant à 300 000 exemplaires et rapportant à son auteur 20 000 livres9.
Lobsang Rampa a écrit en tout dix-neuf livres contenant un mélange de préceptes religieux ou ésotériques dont beaucoup ont été repris dans le courant New Age. Aucun n’a atteint le succès du livre Le Troisième Œil. Cependant, ses livres ont continué d’être édités et se sont vendus à quinze millions d’exemplaires dans le monde10. »
Mon analyse
Au vu de ce qu’en dit Wikipédia, on pense à un imposteur, mais on ne peut pas nier le succès de ses livres, ce qui correspondait à une recherche du public pour ce genre de lecture.
On peut dire que Rampa a été un précurseur de la pensée New age, à la suite de la théosophie, de même, il a été à faire connaitre le Tibet qui était à l’époque un pays complètement fermé et totalement méconnu des occidentaux.
Rampa, pour expliquer qui il est , nous explique qu’il a fait un transfert d’âme avec Cyril Henry Hoskin, plombier anglais, à première vue cela parait absurde, mais j’ai beaucoup entendu parler du phénomène Wal kin, alors pourquoi pas?
Et on pourrait se demander comment un plombier qui n’est jamais aller au Tibet aurait pu décrire tout cela, ?
L’expérience de walk-in est un transfert d’âmes. C’est en quelque sorte une entente entre deux âmes. L’âme qui est dans le corps décide qu’elle ne veut plus continuer de vivre et au lieu de faire mourir son corps, une autre âme va continuer de vivre sa vie à sa place. Il y a une âme sortante et une âme entrante, d’où les termes anglophones « walk-in » et « walk-out ».
Les « walk-ins » sont des âmes qui entrent dans les corps et continuent de vivre la vie de ces personnes. Elles connaissent la mémoire, la vie et l’histoire du corps, tandis que l’autre âme continue son cheminement en se réincarnant et en naissant à nouveau dans un corps différent. Les personnes qui connaissent ce corps avec cette nouvelle âme ne verront aucune différence, même si l’esprit a changé d’identité. Quand le walk-in emprunte ce nouveau véhicule, c’est à ce moment qu’il oublie sa vraie identité et il doit continuer son apprentissage afin de poursuivre sa mission. Le transfert d’un esprit à l’autre se fait habituellement lors d’un traumatisme ou d’une mort imminente. Le premier esprit s’éteint et l’autre prend la place.
Il y a trois raisons pour lesquelles une âme décide de faire une entente de transfert avec un walk-in :
– pour commencer une nouvelle vie
– pour mourir
– pour quitter leurs corps parce qu’ils ne peuvent plus y maintenir l’étincelle de vie ou parce qu’ils sont si découragés qu’ils désirent le quitter à tout prix. (…) d’après Hélène Levesque
Conversations avec Lobsang Rampa
Voici la vidéo de l’hypnose ésotérique régressive
Un extrait d’un de ses textes
La veuve de rampa a fait éditer un livre , récapitulatif de ses meilleurs textes: Le testament de Rampa »
Les différentes civilisations
Bien des gens ont l’idée erronée que ce monde n’est que depuis
relativement peu de temps et que son histoire est complète. Or, c’est
loin d’être exact.
Au cours de milliers d’années, il y a eu quantité de civilisations sur
la Terre. Cette Terre est semblable à une école où se succèdent des
classes diverses et, comme il en est des classes, l’une peut être
exceptionnellement bonne et l’autre exceptionnellement mauvaise.
On peut aussi comparer la Terre à un vignoble dont les recettes
varient. Certaines sont particulièrement appréciées, d’autres non. La
récolte, en ce qui concerne notre globe, est composée d’êtres humains
et elle s’étend sur des cycles bien déterminés. Par exemple, les
Hindous pensent que chaque période de la Terre est divisée en quatre
classes, ou stades, ou cycles, dont chacun s’étend sur 864 000 ans. Le
premier cycle de 864 000 ans fut excellent: les hommes font de leur
mieux, ils ont mutuellement confiance et confiance aussi en
l’essentielle bonté du genre humain. Ils tentent de s’aider et il n’y a
pas de guerres; pas même de menaces de guerre. Mais un bonheur
sans mélange n’est pas une bonne chose. Il mène à la mollesse. C’est
ce qui s’est produit dans les grandes civilisations de l’Inde, de la
Chine et de l’Égypte. Ce furent là de grandes civilisations, mais
l’excès de puissance, le manque d’opposition et de compétition ont
conduit ces civilisations à la dégénérescence. Ce fut aussi le cas de la
Rome antique. Le second cycle est celui où les hommes, ou plutôt les
souverains de ce monde ont compris qu’il leur fallait introduire un
serpent dans l’Eden. Il en résulte que le second cycle est le théâtre de
certaines difficultés et de controverses, car il convient de savoir dans
quelle mesure les gens sont capables de penser par eux-mêmes et de
triompher de ce qui leur résiste.
Il y a des chances pour qu’à la fin de ce second cycle les notes
attribuées à ceux qui ont fait partie de cette classe soient très
satisfaisantes et, par conséquent, la troisième classe, ou période de
864 000 ans, est un peu plus sévère. II y a des guerres, et même des
guerres de conquête, mais quoi qu’il en soit ces guerres ne sont pas
aussi barbares, pas aussi sadiques que celles que nous connaissons.
Les hommes n’étaient pas perfides, dans le troisième cycle. Ils se
battaient, c’est certain, mais les guerres étaient comparables à ces
jeux où deux petits garçons essaient la force de leurs poings et se
donnent des coups sans intention de tuer l’adversaire rien que pour
lui faire mal. II n’en demeure pas moins que les guerres sont
corruptrices et l’on s’aperçut du fait que quelques coups de poignard
dans le dos et autres traîtrises permettaient de gagner une bataille
avant qu’elle fût vraiment commencée.
Les choses, au cours du troisième cycle, vont de mal en pis et,
véritablement, dégénèrent. C’est comme un incendie de forêt qu’on
n’a pas maîtrisé à temps.
Si un imbécile laisse tomber une cigarette allumée et provoque un
incendie, une personne attentive peut éteindre le feu, mais si le feu
n’a pas été détecté à temps, il devient presque impossible de le
contrôler; alors il y a des morts et beaucoup de dégâts avant qu’on en
vienne à bout. La vie est ainsi faite. Lorsqu’on permet au mal de se
développer sans contrainte, il devient de plus en plus fort et. de
même que les mauvaises herbes étouffent une belle fleur cultivée, le
mal étouffera ce faible instinct du bien qui est originellement dans
l’homme.
C’est ce qui se produit à la fin du troisième cycle. On peut dire que
les éléments perturbateurs, dans ces salles de classe qu’étaient les
pays du monde, se dressèrent contre les maîtres, les maltraitèrent et
désobéirent à leur autorité, (« est à ce moment que le quatrième
cycle commença, ce quatrième cycle que les Hindous ont nommé
l’Âge de Kali. L’Âge de Kali est celui où les gens souffrent. On peut
se le représenter comme une ère où les hommes et les femmes
subissent la torture par les flammes de la guerre et sont réduits en
cendres pour être prêts à une prochaine et meilleure vie, car la vie
continue et les êtres s’améliorent dans le cours naturel de
l’évolution. Ils acquièrent de l’expérience et, lorsqu’ils échouent à un
stade quelconque de leur évolution, ils retournent à ce stade comme
l’écolier qui, n’ayant pas réussi à ses examens, est contraint de
redoubler au lieu de passer dans la classe supérieure.
Conclusion
Pour ce qui de la véracité de ces textes, je pense que ce n’est pas le plus important.
Le plus important, à mes yeux est qu’il avait un message à faire passer, et qu’il a réussi.
Il a permis à une quantité de personnes de sortir de ses préoccupations matérielles et de s’interroger sur l’éxistence d’une réalité spirituelle, et même si le Dalai Lama le juge imposteur; il a permis au monde de connaitre le Tibet.
Et vous qu’en pensez-vous, avez- vous lu des livres de lui?
C’est avec plaisir que je lirai vos commentaires.
Pour en savoir plus :
https://booknode.com/auteur/t-lobsang-rampa